Le pitch de poche : Le soleil décède petit à petit, une équipe d'astronautes physiciens s'en va le réparer à bord d'une montre géante, sans le bracelet, que le cadran. Ils envisagent de rentrer dans le soleil pour changer les piles et le relancer afin que la vie sur Terre subsiste. C'est là que Trey (un des trois passagers de la montre), fait des calculs et se plante : "j'ai merdé", répète-t-il, de 1,1 degré dans le calcul de la trajectoire de la montre gousset volante, ce qui va causer de sacrées brûlures à plusieurs degrés sur les différents passagers au fil du film. Vous l'aurez compris c'est un slasher. Petit à petit, le soleil tue les gens, sans porter de masque, ce qui l'écarte un peu du genre.
Le seul intérêt du film : Rose Byrne a très très chaud...L'idée c'est d'aller dans le soleil pour changer ses piles. C'est le scénario le plus con possible et pourtant des tas de types ont misé plusieurs millions de dollars dessus, et tout un tas d'autres gens ont donné 7 euros au multiplexe le plus proche pour voir ça et ils ont adoré.
Sunshine de Danny Boyle avec Rose Byrne et Michelle Yeoh (2007)
rien compris à ce film, aidez-moi
RépondreSupprimerje trouve que c'est un film "farniente"
RépondreSupprimerDanny Boyle devait avoir la tête dans les étoiles,
et finalement, ça m'a pas tant dérangé que ça de l'accompagner au soleil le temps d'une séance obscure.
Indastoop m'ôte les mots de la bouche, j'en reste muette comme une carpe.
RépondreSupprimerj'aime beaucoup, Sunshine.
Encore une fois, un résumé bien sexiste de votre part. En tant que chroniqueurs "cultivés", la moindre des choses est de ne pas faire dans le machisme de base. Ridicule
RépondreSupprimerQUE QUOI ?
SupprimerQu'est-ce que tu dis. Mesures-tu la bêtise que constitue la qualification de "sexisme" à propos de choses qui ne le sont pas ? Sais-tu que les sexistes, les vrais, se délectent de gens comme toi qui mélangent tout ?
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