Le plot outline aka le scénario, l'intrigue, mon petit résumé de la storyline : Vincent Wolsvageen et Ben Stiller sont deux avocats de renom dont la réputation n'a pas d'égale outremanche. Le premier mesure 3m10 et possède le charisme d'une voiture allemande bon marché. Le second est aveugle à 95% à cause de ses cheveux et son nez mesure 3m10. Pendant environ 45 mn, il n'y a pas vraiment de film, on voit juste de courts extraits de mariages miteux sur fond de musique juive, un hommage timide à la première moitié de Voyage au bout de l'enfer, avec en prime des chutes de blagues, seulement les chutes, ce qui diminue vivement l'effet comique, du type: "Et là la pute elle lui dit et toi t'as vu ton cul !", ou encore: "Hé, pour ce prix là tu voulais pas des gambas ?", mais encore "T'es sûr que les arabes et les noirs on quitté le pays, bon alors je prendrai juste un coca". Le tout en voix off, pendant que Wolzwaggen se trémousse comme un veau sur le dancefloor.
Bon après y'avait Panique à Yucca City sur mon canapé alors j'ai pas bien vu, mais en gros j'avais chopé la version director's cut, unrated without any control of the parents, et du coup j'ai bien vu 4 ou 5 paires de nichons gonflés au gruyère et une fillette de quinze ans prenant littéralement dans ses doigts le sexe informe de Wolzwaggen en total self control of the pants. Après ça le Warren Wilson tombe amoureux d'une fille assez manifestement laide, il va vers sa chambre, elle va vers la sienne. À ce moment là j'enchaînais les roulés boulés sur le canapé. La fille sort de sa chambre dans un pyjama vert que même George Beller n'a jamais imaginé, et le réalisateur, assez brillant, zoome sur ses pieds salis par le parquet, pile au moment où je suis passé à deux doigts de coller mon 43 sur la joue de Félix qui, d'un réflexe animal, m'a éjecté du canapé des deux mains. J'ai fini par terre, la tête à l'envers, un bol brisé sous le pied et une hanche abandonnée sur le coin de notre table rouge ikéa.
Bon après y'avait Panique à Yucca City sur mon canapé alors j'ai pas bien vu, mais en gros j'avais chopé la version director's cut, unrated without any control of the parents, et du coup j'ai bien vu 4 ou 5 paires de nichons gonflés au gruyère et une fillette de quinze ans prenant littéralement dans ses doigts le sexe informe de Wolzwaggen en total self control of the pants. Après ça le Warren Wilson tombe amoureux d'une fille assez manifestement laide, il va vers sa chambre, elle va vers la sienne. À ce moment là j'enchaînais les roulés boulés sur le canapé. La fille sort de sa chambre dans un pyjama vert que même George Beller n'a jamais imaginé, et le réalisateur, assez brillant, zoome sur ses pieds salis par le parquet, pile au moment où je suis passé à deux doigts de coller mon 43 sur la joue de Félix qui, d'un réflexe animal, m'a éjecté du canapé des deux mains. J'ai fini par terre, la tête à l'envers, un bol brisé sous le pied et une hanche abandonnée sur le coin de notre table rouge ikéa.
Là, après 3h30 de film et d'efforts intenses de concentration, j'ai lancé mes vieilles chaussures sur le dvd pour tenter de l'éteindre sans m'approcher de l'écran de télé où le Charlie Wilson trimballait toujours son nez et ses cheveux sales.
Wedding Crashers de David Dobkin avec Owen Wilson et Vince Vaughn (2005)
Je l'ai vu il doit y avoir un an, voire plus, ce film, et je n'avais pas laissé de commz, alors je le dis que maintenant mais ce movie est assez mauvais mais Will Ferrel est drole.
RépondreSupprimerAh oui, la scène avec Will Ferrell, c'est grand. :D
RépondreSupprimerMOM !! THE MEATLOAF !!!
RépondreSupprimerJe viens voir la scène du pyjama vert et des pieds dégueus et c'est exactement ça!!!!
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