Quand, en 2011, la star féminine de ton film c'est Cameron Diaz, révélée en 1995 dans The Mask, c'est que t'es un gros fumier.
Quand, en 2011, la "bonnasse" de ton film c'est Cameron Diaz, c'est que t'es un gros enfoiré.
Quand, toujours en 2011, le héros de ton film de super-héros c'est Seth Rogen, t'es au 36ème dessous.
Quand l'affiche de ton film, en 2011, elle ressemble à la saloperie ci-à gauche, t'es une raclure de bidet.
Quand, en 2011, le caméo de ton film n'est autre que James Franco, t'es une sous-merde.
Quand, en 2011, tu sors un film de super-héros "buddy-movie décalé" qui prend en dérision le genre, c'est que t'es un gros retardé de 30 ans.
Et c'est ce triste sire de Michel Gondry qui, en 2011, a été invité à donner des leçons de cinéma à tout Cannes ? C'est lui qui est acclamé comme un nid à idées hors pair par toute la critique ? Let me laugh ! Make me feel bad ! Touch me when I come closer !
The Green Hornet de Michel Gondry avec Seth Rogen, Cameron Diaz et Christoph Walz (2011)