7 novembre 2011

Secretary

Secretary, le film que tout le monde a vu ! Sauf Jake Gyllenhaal. Sa sœur, Maggie, incarne une femme aux hormones en ébullition dans ce film en bois. On va se la jouer blog ciné classique et intègre en vous résumant l'histoire : Maggie Gyllenhaal habite dans une banlieue américaine typique, un bled bizarre, une famille de tarés, et elle est embauchée par un avocat à la cour joué par un James Spader plus concupiscent que jamais et fatigué d'incarner les bouts de steak chez Cronenberg. Quand elle se rend à son travail, elle découvre des godes-michetons et autres godes-ceinturons disposés un peu partout sur son nouveau bureau, et son boss lui présente ses nouveaux collègues de travail, notamment des jumeaux prénommés Strapon et Strapon, croyant bon d'ajouter : "Et attends c'est pas tout, t'auras aussi pour nouvelles meilleures copines deux fausses jumelles, vise un peu ça", en sortant ses deux couilles rasées de près et brillantes par la fente étroite de sa braguette. Séquence problématique. C'est ainsi que démarre une nouvelle histoire entre l'héroïne et son patron, qui dépasse le cadre strictement professionnel et qui me rappelle mon job d'été à la mairie de Lille en juillet 2010.


Les rejetons Gyllenhaal

Petit retour sur Maggie Gyllenhaal, qui fait partie du gratin, y compris les morceaux cramés trop gratinés. Nous connaissons son père, brave homme que nous avons croisé dans le métro parisien complètement par hasard, un type humble et sympa bien que totalement gaga de sa fille, un type droit, comme il est de plus en plus rare d'en croiser dans le milieu et dans le métro. Bref, revenons à nos moutons, Félix et moi sommes tombés par hasard, dans la colonne de droite pute à clic du site "Programme télé Z", sur une photo de la jeune actrice en vacances à la plage aux côtés de son frère, et nous nous sommes surpris l'un et l'autre (et nous avons tardé à nous l'avouer, encore plus à vous l'avouer !) à bloquer le plastron mouillé de Jake.


Secretary de Steven Shainberg avec Maggie Gyllenhaal et James Spader (2002)