En 1988 Phillip Noyce enfonce les portes de la Warner Bross pour soumettre son nouveau projet au directeur de l'illustre maison de production. Son film racontera l'histoire d'un jeune couple, John Ingram (Sam Neill) et Rae Ingram (Nicole Kidman), qui vient de perdre son unique enfant dans un terrible accident de voiture. Pour se changer les idées et se mettre au vert, ils décident de partir en mer sur un voilier pour une période indéterminée qui s'achèvera quand bon leur semblera. Mais voilà qu'ils repêchent le dernier rescapé d'un bateau naufragé et que cet individu nommé Huguie (Billy Zane) s'apprête à copieusement les faire chier. Ne laissant pas Phillip Noyce terminer son explication de texte, le directeur de la Warner lui serre vigoureusement la main avant de lui déclarer : "Ton idée c'est du déjà craché et recraché mais ça me plaît terriblement, je vais produire ton film et te dégoter un budget à trois chiffres". Ce que le célèbre producteur devait oublier de préciser c'est qu'il y aurait une virgule perdue dans ces trois chiffres et placée plus près du début que de la fin.
Billy Zane, avant de s'attaquer à la baleine Kate Winslet, s'en était pris à l'étoile de mer de Nicole Kidman
Vous vous demanderez peut-être comment avec un budget si dérisoire Phillip Noyce a pu réunir Nicole Kidman et Sam Neill dans un même casting. Mais ne vous détrompez-pas, ce film date de 1989, et il marque les premiers pas d'une frêle et rousse Nicole Kidman au cinéma. Même combat, plus ou moins, pour Sam Neill. Et idem pour Billy Zane que ce rôle devait condamner à jouer les trouble-fête en bateau (rappelez vous de lui dans Titanic). Et comment ne pas s'extasier devant l'insondable beauté de cette Nicole Kidman des premiers âges. Ce corps bâti selon le nombre d'or, cet échafaud de callipyge surmonté d'une tête d'ange à la peau blanche comme neige, translucide, on peut voir ses organes à travers ! Ce visage de déesse couronné par une immense chevelure écarlate et que percent des yeux d'un turquoise inhumain. Si le titre français du film est "Calme blanc" laissez moi vous dire que dans mon slipard j'assistais à une véritable tempête. Alors on me reprochera de ne m'adresser ici qu'à la gent masculine. Fort bien. Parlons un peu de Sam Neill. Et ses yeux bleus-de-mer-de-Grèce ne sont pas de reste. Quel bel homme. Invariablement affublé de la même coiffure depuis sa naissance, la seule possible. Immanquablement vêtu de la même chemise bleue qu'il portait lors de son premier casting et qui depuis ne le quitte plus. Sauf à de rares instants, comme quand il travaille à fond de cale d'un bateau qui coule, auquel moment il se résout à dévoiler son torse de bûcheron. Un duo d'acteurs de haut niveau donc, à côté desquels Billy Zane fait bien pâle figure.
Cette chevelure de fauve, ce regard bleu océan, ces lèvres rose-bonbon, je ne sais même plus lequel de Kidman ou de Neill je suis en train de décrire...
Pauvre Billy Zane, comment rivaliser face à Sam Neill, qui comme à son habitude nous gratifie de quelques uns de ses gestes d'acteurs les plus célèbres. Qui n'a jamais vu Sam Neill comprenant ou découvrant quelque chose sur le tard, se retourner très lentement vers la caméra, le menton bas et les yeux plissés. Qui n'a jamais vu Sam Neill, dans la situation la plus désespérée, s'émerveiller de choses aussi dérisoires qu'un bateau en feu, les bras légèrement écartés du corps, paumes ouvertes vers l'objet de sa satisfaction et sourire niais collé au visage. Qui n'a jamais vu ça n'a jamais vu un film avec Sam Neill. Ces techniques d'acteurs appartiennent à Sam Neill, il en possède les droits et gagne de l'argent quand un autre acteur dans le monde les emploie, c'est le Label Sam Neill et les actionnaires de l'Actor's Studio s'en bouffent les doigts.
Comment rivaliser dans le rôle d'un schizophrène assassin qui met une bonne demi-heure à se décider avant de posséder physiquement une Nicole Kidman radieuse à souhait en l'absence de son époux. Oui parce que quand le couple repêche cet étrange individu nommé Huguie, Sam Neill sent bien qu'il y a quelque chose d'étrange et il décide de l'enfermer pour se rendre sur le bateau à la dérive qu'a fui le rescapé. "Qu'est-ce qui te fait croire ça" lui demandera sa femme, et l'imperturbable Sam Neill de lui répondre: "25 années passées sur des bateaux". Et il découvrira bel et bien sur l'épave que les différents membres de l'équipage ont été tués par Huguie les bons tuyaux. Mais John Ingram n'aura pas le temps de rejoindre son propre voilier car ce dernier a foutu les voiles avec Huguie aux commandes et Nicole Kidman à son bord. N'ayant d'autre choix pour rejoindre sa femme, Sam Neill décide de pomper l'eau qui envahit le navire d'Huguie, de colmater ses brèches et de réparer son moteur sur fond de musique africaine entêtante. Inutile de vous cacher que le rythme ralentit considérablement tandis que l'on observe, non sans plaisir, Sam Neill remettant à flots un bateau à 95% coulé et détruit.
Et pendant ce temps Nicole Kidman négocie au quotidien avec son ravisseur. Originalité du script, l'ennemi en question n'est pas un tueur irréfléchi mais un simple gars un peu dérangé qui pète les plombs une fois par jour, moment de la journée où mieux vaut ne pas traîner dans les parages afin de ne pas finir avec un pieu enfoncé dans le cœur jusqu'à la garde. Et malgré ses manœuvres, Rae Ingram finira par céder à Huguie par la faute de son chien. C'est dur à croire mais c'est pourtant vrai. Le clébard du couple, remplaçant du gamin tué au début du film, est un personnage à part entière qui aura son importance dans le récit quand il décidera le mord aux dents de se liguer avec Huguie. Il finira empalé sur une porte à coup de harpon. Un soulagement pour tout le monde tant le démon s'était emparé de ce chien mouillé. À la fin du film, après que Rae Ingram s'est débarrassée d'Huguie et que Sam Neill est passé à deux doigts de se noyer dans la cale du bateau qu'il avait sans doute mal réparé, puisqu'on le retrouve, sans explication après une ellipse douteuse, à nouveau inondé en ce qui concerne la partie immergée et complètement enflammé concernant le pont et les voiles - après ces nombreuses péripéties donc, le couple se retrouve enfin, serein et comblé. Mais ne comptez pas sans un ultime retour du tueur fou, aussitôt congédié par un Sam Neill que les tentatives d'assassinat de Bill Zane ne font plus du tout marrer et qui l'expédie dans l'eau avec une fusée éclairante logée dans l'oreille gauche.
Calme Blanc de Phillip Noyce avec Nicole Kidman et Sam Neill (1989)
Ca a l'air méga coolos, et je suis sur que Piquick l'a déjà vu. Il ne rate jamais un bon huis clos en haute mer, surtout si Sam est de la partie.
RépondreSupprimerUne critique toujours aussi imaginative, qui donne envie de remater le film, et toujours remplie d'anecdotes croustillantes, de goofs, de trivia qui permettront aux lecteurs de briller en soirée.
RépondreSupprimerEt surtout un magnifique hommage à Nicole Kidman, à la fois sincèrement amoureux et sentant fort le gland rouge et humide. Tout ce qu'un hommage à une actrice devrait être. Autre chose que Melvil Poupaud sur Jeanne Moreau aux césars (bon en même temps fallait avoir bonne mémoire pour lui faire un hommage qui sente le gland).
RépondreSupprimerQuelques ajouts ont été apportés à cet article. :)
RépondreSupprimerAdmirez mon talent légendaire en matière de capture d'écran :D Et les légendes ne sont pas de reste...
RépondreSupprimerT'as re-dl le film exprès? o_O
RépondreSupprimerNon en fait ce coup-ci j'ai écumé tous les forums de cul pour trouver l'image, en vain. Finalement j'ai trouvé ça en dixième page google pour "Kidman Dead calm" -_-
RépondreSupprimerPhil Noyce et Nicole Kidman, les retrouvailles ?
RépondreSupprimerhttp://www.allocine.fr/article/fichearticle_gen_carticle=18603907.html?utm_source=Cinema_FR&utm_medium=Cinema_FR&utm_campaign=Feed%3A+ac%2Factualites+%28AlloCine+-+RSS+-+Toute+l%27actualit%C3%A9+cin%C3%A9+et+s%C3%A9ries%29
J'ai voté pour "pas mal".
RépondreSupprimerJe l'ai relu, quel chouette article ! J'ai du coup très envie de le voir, surtout à cause de la photo du cul de Kidman. Je crois que c'est peut-être le film qui me la fera aimer ! Elle me parait bien plus belle en rousse.
RépondreSupprimerTout juste, elle n'a peut-être jamais été plus belle que dans ce film. Mate-le, il est pas mal en plus !
RépondreSupprimerPar contre pour son cul, LE film à voir ça reste le testament de Kubrick. Même si là c'est déjà quelque chose...
RépondreSupprimerOui. Et y'a un gros gros Sam Neill. Un immense Sam Neill.
RépondreSupprimer"Si le titre français du film est "Calme blanc" laissez moi vous dire que dans mon slipard j'assistais à une véritable tempête." Une tempête de spermatozoïdes vérolés?. Bon, on a compris que vous avez un sexe énorme d'étalon surpuissant. Très élégante et pas du tout sexiste, votre phrase ...
RépondreSupprimerFranchement ça te fait vraiment pas marrer ? :(
RépondreSupprimerVous ignorez tout de l'origine de ce film. Le scénario est passé dans les mains de Stanley Kubrick au milieu des années 70. S.K. s'y est intéressé de très près, puis a laissé tomber en découvrant le roman "Shining". Phillip Noyce devait un film à son studio et n'a eu d'autre choix que de faire ce film avant que le studio ne perde les droits sur le scénario.
RépondreSupprimerJ'aimerais que chacune de tes interventions soit de cet acabit. :)
RépondreSupprimerGrâce à toi je viens d'apprendre un truc en m'amusant, je n'avais jamais eu la curiosité de lire la page wikipédia anglaise de ce film.
Et je suis sérieux hein le prend pas mal. D'ailleurs le film est pas mal et tout, mais ça on le dit dans la critique, donc je suis content d'en savoir plus sur lui.
Et on peut ignorer ces infos et quand même critiquer ce film, non ???
RépondreSupprimerQuand tu écris "critiquer ce film", tu veux dire écrire des phrases comme "Dans mon slipard j'assistais à une véritable tempête"? C'est ça que tu appelles critiquer ce film ?.. Sachez que la critique, la vraie, sincère et respectueuse, ne peut s'affranchir de connaissances sur le contexte de création. Ca s'appelle la culture et il en faut pour écrire une critique de film.
RépondreSupprimerÇa c'est ton avis, et sans doute le plus répandu. J'ai rien contre, c'est une façon de faire. Mais on peut tout à fait légitimement penser qu'une critique peut (voire DOIT) se passer de connaître le contexte, et tout le background d'un film, et donc se limiter à l’œuvre en tant que telle.
RépondreSupprimerPas le plus répandu, la preuve (argument mesquin pour tenter de discréditer mon avis). Non, la culture cinématographique est une condition sine (ciné) qua non pour écrire une vraie critique de film. Sinon, on en reste au niveau de la notule, ou au mieux du billet d'humeur, comme tous les écrits du présent site.
RépondreSupprimerC'est vrai que pour causer viteuf d'un tout petit film sympa comme Calme Blanc il faut à tout prix savoir et préciser que le scénario est passé dans les mains velues de Kubrick et que Stephen King l'a lu derrière ses grosses lunettes, c'est CA-PI-TAL.
RépondreSupprimerC'est cool de le savoir, c'est peut-être même intéressant si on est fan de Kubrick mais ça ne change absolument rien à ce qu'est le film au final. Y'a culture et trivia...
Je précise que je ne sais pas de source sûre si les mains de Kubrick était velues, c'est juste qu'il m'a semblé apercevoir des brins de moquette sur les poignets du cinéaste sur une ou deux photos, c'est donc une petite plaisanterie qui n'a rien d'un anti-américanisme primaire ni rien des prémices d'un antisémitisme qui s'ignore. Promis.
Truffaut a déjà expliqué tout ça dans les années 60 où il reconnaissait que ses prtemiers papiers dans Les Cahiers n'étaient pas des critiques, mais des positions tranchées pour se parer d'une attitude intéressante. Pour faire l'interessant en somme .
RépondreSupprimerNon, cetee fois ce n'est pas terndencieux, c'est juste bête.Voir réponse ci-dessus (Truffaut ...). Aucun critique n'ignore l'histoire du cinéma. Un cinéaste, un creéateur, lui, le peut.
RépondreSupprimer"est une condition sine (ciné) qua non"
RépondreSupprimerÇa c'est du Wilder tout craché ! Je crois que c'est Jack Lemmon qui fait cette vanne dans "Certains l'aiment chaud" (vérifie ton wiki !). C'était pas un peu "sexiste" ce film d'ailleurs ? Avec ces deux types qui se déguisent en femmes et qui veulent se taper une belle femme ? Et la fameuse réplique de la fin, qui ridiculise un peu les homosexuels ? Pas un peu homophobe ça ?
Et "Sept ans de réflexion", c'était pas un peu sexiste aussi ce regard sur Monroe ?
J'adore Wilder mais j'avoue que parfois je le trouve un peu limite, homophobe tendance sexiste, limite limite.
Par ailleurs moi je croyais qu'en se contentant d'accumuler des anecdotes du type "Kubrick s'est intéressé au projet", c'est là qu'on était dans la "notule".
Dernier truc : Tu as vraiment lu TOUS les articles du blog ? :D
"Non, cetee fois ce n'est pas terndencieux, c'est juste bête.Voir réponse ci-dessus (Truffaut ...). Aucun critique n'ignore l'histoire du cinéma. Un cinéaste, un creéateur, lui, le peut. "
RépondreSupprimerEt c'est toi qui reprochais à Joe G. de ne pas écrire en français ?
Par ailleurs bravo, maintenant on sait que tu connais l'histoire anecdotique du cinéma.
Et là tu vas nous faire des listes pour nous prouver que tu t'y connais réellement en cinéma ?
Par exemple, il y a de nombreuses références dans le film de Noyce au film de Polanski "Le couteau dans l'eau", parfois au plan près dans certaines scènes.
RépondreSupprimerEt contrairement à ce que vous pensez, certains critiques placent Calme blanc assez haut, grace à ses différents niveaux métaphoriques. Un niveau sur le plan de la psychanalyse des personnages, un niveau qui dénonce le Watergate. Mais ça, seule une culture cinématographique et un peu encyclopédique permet de le comprendre. Non, Calme blanc n'est pas un film si simple ...
C'est triste, Anonyme, cette méfiance pour la culture (le classique et si juvénile argument de "T'étales ta culture pour m'enfoncer").
RépondreSupprimerMort à la barbarie.
nb: les fautes de frappe n'attestent nullement d'une méconnaissance du bon français.
"Par exemple, il y a de nombreuses références dans le film de Noyce au film de Polanski "Le couteau dans l'eau", parfois au plan près dans certaines scènes.
RépondreSupprimerEt contrairement à ce que vous pensez, certains critiques placent Calme blanc assez haut, grace à ses différents niveaux métaphoriques. Un niveau sur le plan de la psychanalyse des personnages, un niveau qui dénonce le Watergate. Mais ça, seule une culture cinématographique et un peu encyclopédique permet de le comprendre. Non, Calme blanc n'est pas un film si simple ... "
Je préfère quand tu parles comme ça.
Toi qui as une culture encyclopédiquement développée tu compares Calme Blanc au film de Polanski ? C'était certes son premier long métrage mais il était quand même d'une autre trempe que le téléfilm de Phillip Noyce !
RépondreSupprimerTu devrais lire mon article sur "Wall-e". Dans cet à priori très simple dessin animé j'ai réussi à trouver, dans un seul plan, deux sexes masculins mal cachés, qui sont de toute évidence une référence très explicite mais néanmoins subtile à Gorge profonde. Non, Wall-e n'est pas un film si simple...
J'ai le souvenir d'un thriller "honnête" et j'aime pas dire ça d'un film.
RépondreSupprimerArgument piteusement malhonnête. Vous faites semblant de ne pas comprendre, enfin j'espère ...
RépondreSupprimerEcrire "Par exemple, il y a de nombreuses références dans le film de Noyce au film de Polanski "Le couteau dans l'eau" " ne veut pas dire que l'on met ces deux films sur le même plan. Il s'agit de montrer par l'exemple que la culture cinématographique est indispensable pour appréhender vraiment un film. Sans culture, on en reste au niveau de j'aime, j'aime pas, je me suis ennuyé ou pas et l'actrice est une connasse mais je me la ferais bien!. Bref, au niveau de ce site.
Quant à ça (Tu devrais lire mon article sur "Wall-e". Dans cet à priori très simple dessin animé j'ai réussi à trouver, dans un seul plan, deux sexes masculins mal cachés, qui sont de toute évidence une référence très explicite mais néanmoins subtile à Gorge profonde. Non, Wall-e n'est pas un film si simple...), c'est juste de l'ironie sans valeur, qui n'argumente pas, juste de la bête barbarie.
Sauf qu'une fois que t'as dit qu'il y a de nombreuses références au film de Polanski, ça donne quoi ? Fais-nous rêver.
RépondreSupprimerTu emploies beaucoup le mot "barbarie", qui n'est pas du tout connoté historiquement contrairement à "déni d'humanité", c'est marrant.
S'extasier des références "possibles" qu'on est libre de déceler dans les films et se limiter à ça, c'est vraiment niais au bout d'un moment. Dans Cloverfield il y a "un niveau qui dénonce le 11 septembre", ça l'empêche pas d'être un film de merde :D
RépondreSupprimerQuand le film est bon à la base, pourquoi pas, mais là boaaaaaaaaaarrrf...
RépondreSupprimerOui, la barbarie de certains qui sont fiers justement de n'avoir aucun background culturel.
RépondreSupprimerUne fois que j'ai dit qu'il y a de nombreuses références au film de Polanski, j'ai juste expliqué pourquoi le film a été fait, sa génèse, sa raison d'être pour Noyce. Que ça.
Noyce, et on pourrait s'amuser à en parler comme d'un auteur, adore Polanski et son univers malsain. On peut le lire même dans ses pires films (ex; Sliver, qui est une démarque de Lune de fiel). Il explique même avoir emprunté à Polanski sa technique du montage à angles croisés, tu sais, cet enchainement de deux plans avec des axes de caméra perpendiculaires. Montage à angles croisés que seuls Kubrick et Polanski savent utiliser, lui donnant une dimension métaphysique (mais ça nous mènerait un peu loin ...).
On a aussi critiqué Sliver tiens. :)
RépondreSupprimerSauf que, Groméro, un film banal peut devenir intéressant, fascinant même, pourquoi pas, s'il est décodé par des connaissances.
RépondreSupprimerOn a trouvé le Docteur ès Noyce en France !
RépondreSupprimerC'est intéressant ce que tu dis, et d'ailleurs si tu te contentais de dire ça tu serais quelqu'un d'intéressant, mais ça ne sauve en rien ce film (que tu me pousses à attaquer, d'ailleurs, alors que je le trouve pas désagréable), qui reste très moyen. Emprunter une technique cinématographique n'a jamais fait un grand film et n'a jamais suffi à prouver le talent d'un réalisateur. Aimer un autre cinéaste et faire des "démarques" des films de l'auteur vénéré, encore moins. C'est cool ce que tu racontes, mais le film n'en est pas meilleur pour autant et, après ce que tu dis, il souffre même d'autant plus la comparaison...
Maintenant que tu le dis, c'est vrai que c'est un putain de chef-d'oeuvre ce film !
RépondreSupprimernb. je plaisante :D
Cour, tu as peut-être des films mieux que Calme Blanc à défendre (on en a attaqué plein qui sont plus appréciés).
RépondreSupprimerMais pourquoi ne savez-vous pas lire ? Ai-je écrit que Calme Blanc est un grand film ? Où ? Ai-je écrit que Noyce a du talent ? Où ? J'ai juste essayé d'extraire la moelle, certes modeste, de ce film, et de montrer, par un exemple idiot de film de commande, que la culture est nécessaire pour écrire sur le cinéma.
RépondreSupprimerOuais mais sur le cinéma, donc pas sur Calme Blanc. Donc tu te bouffes la queue là. Enfin, tu te "mords" la queue, ne crois pas à un propos homophobe à ton encontre.
RépondreSupprimerMais non, Calme Blanc, c'est parfait pour dire l'importance d'une culture pour apprécier autrement que superficiellement le cinéma.
RépondreSupprimertIENS? CE PAUVRE oRSON wELLES AUSSI A FAILLI FAIRE cALME bLANC,;
En tout cas tu as déjà travers un moment de ta vie où tu t'es drôlement intéressé à Noyce. ^^ A moins que tu sois en train de lire masse de trucs sur lui pendant que tu nous réponds... :-D
RépondreSupprimerPeut-être quand même homophobr à un stade anal inconscient. Tu n'as pas écrit cette grossièreté par hasard. Calme Blanc est du cinéma, il faut le revoir. Le film a un rythme, une musicalité. Tous les films ne peuvent point en dire autant.
RépondreSupprimerAh ! Chaplin aussi ? En tout cas si Welles a failli faire Calme Blanc, forcément j'apprécie le film de Noyce. Sûr. C'est Ciné qua non ça.
RépondreSupprimerAh non merde en fait ça me fait juste regretter que Chaplin, Welles ou Kubrick n'aient pas fait le film pour qu'il soit mille fois meilleur qu'il n'est et pour du coup en causer moins superficiellement en me servant avec intérêt de ma "culture". Dommage.
On a bien compris ta démonstration, Eric :)
RépondreSupprimerMais je pense juste que tu aurais peut-être été plus inspiré de choisir un film dont tu aurais aussi pu défendre la qualité. Là bon... Bof quoi. Enfin merci, on a appris deux-trois trucs sur Calme Blanc et Phil Noyce. Peut-être que je pourrai les ressortir en soirée. Quequoi non, vu que tout le monde s'en tape...
Mais quand on lit sur le cinéma, on tombe fatalement un jour sur Noyce.
RépondreSupprimer"Mais quand on lit sur le cinéma, on tombe fatalement un jour sur Noyce."
RépondreSupprimerGéant :D
Moi je ne m'en tape pas.
RépondreSupprimerNous si ! :D
RépondreSupprimer"Mais quand on lit sur le cinéma, on tombe fatalement un jour sur Noyce."
En fait si, t'es marrant toi aussi !
cool...
RépondreSupprimerC'est vrai que vous êtes superficiel Rémi. Il n'y a rien dans vos commentaires que raillerie, méchanceté et ironie. Pas grand chose, donc.
RépondreSupprimerTu dis que c'est du cinéma, que tu t'en tapes pas, blblba etc. Mais à part rappeler les références du film, tu ne nous parles pas trop de ces qualités intrinsèques... Fais-le donc.
RépondreSupprimerIl faut LIRE, Groméro. C'est écrit qq com plus haut .
RépondreSupprimerBah je trouve que tu dis vraiment pas grand chose à part que Noyce a voulu imiter Polanski, que Kubrick a failli faire le film...
RépondreSupprimerNoyce, c'est d'abord un réalisateur australien de courts métrages, dont l'admirable "Castro et Pollux", primé dans le monde entier. Comme Peter Weir, il fut ensuite appelé par les sirènes d'Hollywood et réalisa avec beaucoup de savoir faire des films d'action comme "Jeux de guerre" et "Danger immédiat". Le savoir faire, ça n'est déjà pas si mal, tant de réalisateurs ne sachant pas trop faire. Il sait, un peu comme Demme, moduler le rythme de ses films.
RépondreSupprimerBah, tu écris ça parce que tu n'as pas envie ou capacité d'écrire autre chose. Parce que résister, c'est la seule attitude où tu peux garder ta dignité.
RépondreSupprimerMouéééééé.
RépondreSupprimerJe préfère Weir.
Et dans Sliver je me souviens surtout de Stone.
ma dignité???
RépondreSupprimerOk donc maintenant on passe à la pure page wikipédia, la filmo commentée avec liste de prix et compagnie, pas mal. Il manque le passage biographique. J'aurais aimé savoir où il est né le Phillip, ce que faisaient ses parents, ptet que ça se retrouve dans Calme Blanc, ptet que son papa était poissonnier et que sa maman était une jolie rousse qui est partie avec le boûcher... Ptet qu'il s'appelle Phillip en hommage à Phillip K. Dick, aka le Mobdydick, la baleine bleue, ce qui expliquerait la fascination de Noyce pour l'océan et les grosses cylindrées. Voilà de quoi fouiller le film, en sortir la moelle !
RépondreSupprimerDonc en gros Noyce a un "savoir faire", emprunté à Polanski. Et donc son film est toujours aussi moyen. Mais ça reste "UN REALISATEUR", comme Jonathan Demme. Super :D
Et puis en donner plus ici, ce serait vraiment doner de la confiture aux cochons ...
RépondreSupprimerAllez plutôt sur http://mymp.blogs.allocine.fr/mymp-249224-index.htm
Là, vous trouverez de vrais articles critiques, argumentés, étayés, cultivés.
Ce Rémi est finalement médiocre, ne sachant jamais se hisser au-dessus d'une ironie étroite... Triste.
RépondreSupprimerOui, dignité: continuer d'avoir raison quand on a tort ou rien à dire ...
RépondreSupprimerBah si je dis que je trouve ce film tout juste honnête (et la présence de Kidman et Neil y est pour beaucoup), j'ai tort.
RépondreSupprimerSi tu dis qu'il est bien, tu as raison.
Un peu court !
Wikipedia, pas compris. J'ai vu "Castor et Pollux" au cinéma Rex à Toulouse en 1973. Admirable moyen métrage, histoire d'amour dans la nature du bush australien, merveilleusement filmée. Wikipédia, quoi !?
RépondreSupprimerEst-ce que c'est le lien vers ton blog ?
RépondreSupprimerGromero, on ne fait pas de jeux de mots sur les noms propres, c'est pas bien !
RépondreSupprimerNB : non non ERIC COUR, je ne suis pas de ton avis, moi aussi je fais dans l'ironie étroite et je te trouve épuisant.
Mais Gros Méro, quelqu'un qui écrit pour dire j'ai aimé ou pas aiùmé, comme tu fais, on s'en fout. S'il l'écrit n'apporte rien que ton avis personnel et non argumenté, c'est sans valeur.
RépondreSupprimerEn tout cas, tu dois donc avoir quasiment 60 balais (pour avoir été vivant et en mesure de mater Pollux au ciné en 73 !). Tu peux donc comprendre que nous qui avons une petite vingtaine d'années ne disposons pas de ton savoir (sur Phil' Noyce) ni de ta sagesse ^^
RépondreSupprimerEh bien , que je t'épuise !..
RépondreSupprimerhttp://mymp.blogs.allocine.fr/mymp-249224-index.htm
RépondreSupprimerC'est ton blog, Eric Cour ? :)
Oui, on comprend... Mais il ne faut pas prétendre alors écrire des critiques.
RépondreSupprimerJ'ai tendu cette perche sur l'âge: ça n'a pas loupé, le coup de l'âge. En fait, je l'ai vu plus tard.
RépondreSupprimerERIC COUR, si tu considères que ce blog n'a aucune valeur, pourquoi, du haut de ta précieuse connaissance cinéphilique, viens-tu perdre ton temps ici? Je pose la question sans ironie aucune. Simplement, tu as bien du te rendre compte que ce blog ne prétend pas avoir une valeur encyclopédique, qu'il tend seulement à parler de cinoche entre potes ignorants et pour se marrer un peu, alors pourquoi tant de haine, et surtout, pourquoi tant d'intérêt obstiné ?
RépondreSupprimerC'est vrai que c'était facile l'âge, désolé, et j'ai saisi la perche! :-D
RépondreSupprimerLe choc des mots sur Mélanie Laurent. Je connais une starlette qui s'est suicidée pour avoir lu de telles choses sur elle.
RépondreSupprimerBah oui, forcément qu'on tique quand on se dit que tu as dans les 60 piges, parce que normalement à cet âge là on a compris que le temps est précieux et on ne le perd pas à faire chier le monde pour pas grand chose, on préfère croquer dans la vie que dans la filmo de Noyce (sauf si on a des penchants masos).
RépondreSupprimerTu m'as déprimé là.
RépondreSupprimerComment elle s'appelle ?
RépondreSupprimerhttp://mymp.blogs.allocine.fr/mymp-249224-index.htm
RépondreSupprimerC'est ton blog, Eric Cour ? :)
---->>> Vu que tu ne réponds pas, j'imagine que c'est bien ton blog. ^^
Pauline Lafont
RépondreSupprimerEt moi je connais des gens qui en ont violé d'autres après avoir vu Orange Mécanique. Pourtant le film est putain de cool.
RépondreSupprimerJe sais, c'est pas la même chose, mais quand même.
Faux elle est encore vivante, même si on peut sans doute parler d'une mort cérébrale.
RépondreSupprimerPas du tout, juste un blog qui a de la tenue, et... De vraies critiques ...
RépondreSupprimerSi tu fais tout ça par altruisme et pour sauver des vies, tu peux arrêter parce qu'à force de te lire je vais finir par me faire sauter le caisson.
RépondreSupprimerTu salis la mémoire de Pauline Lafont en disant ça ^^
RépondreSupprimerEn tout cas Wikipédia n'a pas la même version que toi...
RépondreSupprimerPour le coup, Wikipédia pourra peut-être te servir: "Elle est décédée le 11 août 1988 à Gabriac en Lozère." se suicidant après une campagne de presse et d'insultes, car elle avait été prise avec de la drogue sur un tournage auquel j'assistais à Martre Tolosane en 1988. Je sais cela mieux que toi, pauvre con; et je sais aussi que les mots peuvent tuer les êtres fragiles, pauvre con.
RépondreSupprimerC'est moche ce que tu fais COUR.
RépondreSupprimerJe propose que ceci : "Mais quand on lit sur le cinéma, on tombe fatalement un jour sur Noyce" soit le nouveau sous-titre du blog !
RépondreSupprimerMais y a que des cons ici !..
RépondreSupprimer"pauvre con". Je suis fragile et lire ça me fait du mal.
RépondreSupprimerBienvenue au club ! :)
RépondreSupprimerIronie, pauvre et triste ironie du cynique impuissant.
RépondreSupprimerC'était cool sinon le tournage ? C'était quoi comme film ? Bonne ambiance ?
RépondreSupprimerC'est pas ironique, j'ai mal !! Tu es méchant.
RépondreSupprimerQuels sont tes autres cinéastes préférés en dehors de Jonathan Demme, Philippe Noyce et Matre Tolosane ?
RépondreSupprimerL'été de tous les dangers" de Gérard Krawczyk
RépondreSupprimercHUNG kEN? CIN2ASTE CHINOIS DES ANN2ES (à;
RépondreSupprimerLe meilleur film de Krawczyk soit dit en passant.
RépondreSupprimerDécidément, pauvre Krawczyk. Y'avait aussi eu un mort sur le tournage de Taxi 2. On peut parler d'un véritable "chat noir" des plateaux.
RépondreSupprimer"L'été en pente douce", pardon.
RépondreSupprimerPas grave
RépondreSupprimerKrawczyk avait essayé de faire un film assez personnel, "Je hais les acteurs", assez réussi d'ailleurs.
RépondreSupprimerGrâce à toi Eric Cour, les gens tomberont sur ce blog quand ils feront des recherches internet sur la mort de Pauline Lafont... :(
RépondreSupprimerSi tu n'as pas pu sauver Lafont avant sa mort, peut-être pourras-tu croiser Mélanie Laurent sur un de ses prochains tournages et essayer de lui faire comprendre qu'Il a osé est un blog de cons, et qu'il ne faut pas y prêter attention. Je crois qu'elle évitera plus facilement le suicide, ne fût-ce qu'en lui glissant un petit mot anonyme si tu es timide. Pour ça tu n'as même pas besoin de comprendre les nuances de posture énonciative qui sont utilisées ici.
RépondreSupprimerJe suis sûr qu'on t'énerve un peu mais que tu nous aimes bien au fond, vu comment tu nous réponds gentiment parfois.
RépondreSupprimerA propos, Mélanie Laurent est au montage d'un film qu'elle a réalisé. Sans doute allez-vous fielleusement railler et le trouver nl avant de l'avoir vu ?!..
RépondreSupprimerBah sans doute, qu'une merde comme elle fasse un film... ça doit pas être glorieux... Elle et ses deux idées...
RépondreSupprimerTes "nuances de posture énonciative", tu peux te les ...
RépondreSupprimerEt alors, Gros Mérou ?..
RépondreSupprimerSi si on sera vraiment curieux de voir son film. Mais y'a une chance pour qu'on le dégomme s'il est comme on attend qu'il soit, s'il est du même acabit que son album par exemple, s'il nous fait l'effet qu'on se fait... S'il est bien on le reconnaîtra par contre et on sera même contents que le cinéma français puisse s’enorgueillir de posséder dans ses rangs une jeune cinéaste talentueuse de plus. On est comme ça ici.
RépondreSupprimerJ'y crois pas uuuuuuuuuuuuuuuuuuune seconde et toi non plus :D
RépondreSupprimerSi tu aimes la zik on a un acolyte qui cause zik, va voir son blog. :)
RépondreSupprimerJ'avoue :D
RépondreSupprimerOui, ici on est honnête et respectueux. Capable de traiter une jeune fille de merde. Le pire, c'est que je suis sur que vous y croyez à votre bonne conscience ...
RépondreSupprimerHé ERIC (putain ça doit te réclamer pas mal d'attention de garder Caps Lock enfoncé à chaque fois que tu tapes ton blaze, d'ailleurs tu t'es loupé une ou deux fois, je tiens à te le dire), j'ai vu "Le bras de la vengeance" et "La Rage du titre" de Chang Cheh y'a quelques années, et j'avais bien aimé. Tu vois, y'a moyen qu'on soit meilleurs potes !
RépondreSupprimerMoi-même je suis une merde. On s'en fout!
RépondreSupprimerOw, je veux bien me foutre où tu penses les nuances énonciatrices de Zinou, mais de ton côté ravale tes procès d'intention foireux !
RépondreSupprimerSauf que Chung Ken, je l'ai inventé parce que le Gros Mérou me faisait chier. Je passe sur les remarques sur la typographie, sans intérêt .
RépondreSupprimerPas très encyclopédique tout ça.
RépondreSupprimertes procès d'intention foireux: lesquels ?
RépondreSupprimerEt ton trou du cul, il est encyclopédique ?
RépondreSupprimerTon Gros Mérou il croit pas une seconde en Mélanie Laurent. Son film, c'est joué d'avance. Ça sera un pet dans la soie comme celui de Sophie Marceau. Elle veut "faire son petit film", qu'elle le fasse, qu'on s'en éloigne, et qu'elle nous lâche la grappe...
RépondreSupprimer--> "Sans doute allez-vous fielleusement railler et le trouver nl avant de l'avoir vu ?!.. "
RépondreSupprimerSi tu veux bien, laisse mon trou du cul tranquille, il n'a rien à voir dans l'histoire, d'autant qu'en ce moment j'ai une petite colique qui me donne du fil à retordre. Je me euch.
RépondreSupprimerQuels sont les films que tu as aimés récemment, Eric ? :)
RépondreSupprimerBravo Gros Mérou, ça dénote une intelligence et une absence d'a prioris remarquables. Au fait, quel rapport entre Mélanie Laurent et Sophie Marceau ? Marceau a fait deux films très moyens, donc Mélanie Laurent aussi ? Je ne saisis pas bien la pertinence de ce lien entre ces deux actrices.
RépondreSupprimerTsonga il a l'air déjà perdu pour le tennis.
RépondreSupprimerMais ton trou du cul, c'est toi qui en parles dans tes critiques, sinon je ne me serais permis ce genre de familiarités, tu penses bien. On dirait Sarkosy qui utilise sa famille dans les médias avant de dire "Laissez ma famille tranquille".
RépondreSupprimerLe nom des gens, c'est un film remarquable.
RépondreSupprimerTrop de Kinder Bueno !
RépondreSupprimerOula tu fais erreur, je ne suis pas un des auteurs du blog. Je sais bien que "anonyme" est équivoque, pourtant je t'assure que je parle rarement de mon cul en public. Mais c'est pas bien grave de toute façon, on n'est plus à ça près.
RépondreSupprimerBen à mon avis ce sont deux actrices avec 2 de QI et 2 de tension, deux actrices auxquelles on a trop souvent dit qu'elles étaient belles et qui du coup en ont oublié leurs cerveaux. Elles se sont levées un beau matin en se disant "wanna make a movie by my own, i wanna put my guts on the screen". Et ça donne des trucs minables qui pourraient être signés par n'importe quel autre faiseur inconnu. Ensuite elles sont bien contentes, et tant mieux pour elles.
RépondreSupprimerMarceau ça reste une date dans l'Histoire de la Queue.
Laurent, elle-même sait relativiser quand elle mate son reflet dans un miroir. Et j'espère qu'elle pense à aller voir un médecin pour traiter ses mélanomes qu'elle a au cou et à la tronche de cake.
Pourquoi nous parles-tu du Nom des Gens ?
RépondreSupprimerC'est pas humain d'exposer Sarah Fox-terrier à poil. Pas humain.
T'as décidé de défendre la veuve et l'orphelin, ok, sauf que c'est pas le cas.
RépondreSupprimerA propos d'oublier son cerveau ...
RépondreSupprimerPauvre Gros Mérou, t'es juste un petit trou du cul qui dit du mal desz gens sur internet du fond de ta tanière pour exister un peu. Je n'ai pas lu UN mot intelligent de ta part.
"Laurent, elle-même sait relativiser quand elle mate son reflet dans un miroir. Et j'espère qu'elle pense à aller voir un médecin pour traiter ses mélanomes qu'elle a au cou et à la tronche de cake." Ca, c'est vraiment écrit par un eunuque en gelée.
Cthulu je t'encule, et Thomas, je t'emmerde.
RépondreSupprimerOh ben :/
RépondreSupprimer141 !
RépondreSupprimer"Je n'ai pas lu UN mot intelligent de ta part."
RépondreSupprimerça ça me va droooooooooooooiiiiiiiit au coeur :D
Retrouve-t-on du Noyce dans Le Nom des Gens?
RépondreSupprimerMais qui c'est ce COUR qui donne des leçons à tout le monde ?
RépondreSupprimerNon, par contre il paraît que Renoir a failli le réaliser. C'est pas une moitié d'un visionnaire lui !
RépondreSupprimerRetrouve-t-on du Noyce dans Le Nom de la Rose ? Que penses-tu de Marc Esposito ? Aurais-tu donné ta Palme d'Or à Das Trees of Life? Que pronostiques-tu pour DSK? Qu'utilises-tu quand tu as mal au bide?
RépondreSupprimerEn tous cas, il a raison pour Le nom des gens.
RépondreSupprimerJolie flopée de commentaires pour ce film, que j'ai vu il y a deux semaines et qui m'a semblé bien rythmé ! On a déjà une préfiguration de Rabbit Hole en plus pudique, car Kidman est déjà mère en deuil. Mais ici pas de pleurnicheries, c'est la survie ! Je suis curieux d'entendre l'avis de Joe.
RépondreSupprimerMais Groméro qu'écris-tu,, j'comprends rien .
RépondreSupprimerHey Eric Koursk, tu connais la chanson de Robert Marley : "chacun sa route, chacun sa race, passe ce message à ton voisin, bouge de là, chacun sa race, chacun sa route, trace ton chemin un peu plus loin"
RépondreSupprimerOui je connais, mon petit fils l'adorait. Eh bien, qu'attends-tu pour partir, pauvre taré ?..
RépondreSupprimerSa musicalité m'évoque davantage Point Break, un autre film d'océan réalisé par Madame Kathrin Bigelow, l'ex épouse et concubine de James Cameron, d'où surement un lien avec Abyss, si vraiment on veut fouiller la moelle du film. Mais bon pour ça il faut quand même une certaine culture encyclopédique. C'était un film qui instaurait un rythme particulier, jouant sur une similitude avec le reflux des vagues et de la vase, et Bigelow fait preuve d'un véritable savoir-faire dans ce film. C'est une vrai réalisatrice, un peu comme Noyce et comme Luc Pagès, le réalisateur de A + Polux que j'ai vu en 2001 au cinéma le cratère à Toulouse et qui était un film personnel, donc génial.
RépondreSupprimerMais bon, pour en revenir à Point Break, je n'ai pas assisté au tournage, donc je ferme ma gueule. Dommage car j'ai un faible pour Patrick Reeves et Keanu Swayze (pas un mot de plus, l'un des deux est mort dans des circonstances mystérieuses).
Ah, ironie et cynisme, quand tu nous tiens, difficile d'être intéressant !
RépondreSupprimerOh ben yen a qui évitent l'ironie et qui ne sont pas beaucoup plus intéressants pour autant.
RépondreSupprimerJe fais comme l'a recommandé Tonton David : je trace ma route, je passe mon chemin, chacun son rêve, chacun son destin, j'ai besoin d'air, besoin de liberté, ce ne sont pas des mensonges, c'est la réalité.
RépondreSupprimerOui mais sans me salir de cynisme. Si jeune, c'est triste ...
RépondreSupprimerPUISQU'ON EST JEUNES ET CONS PUISQU'ILS SONT VIEUX ET FOUS PUISQUE LES HOMMES CREVENT SOUS LES PONTS MAIS CE MONDE S'EN FOUT
RépondreSupprimerTu as raison, anonyme de mes couilles, laisse la profondeur aux gens profonds et reste à la surface desz choses.
RépondreSupprimerFranchement tu espères un truc du film de Mélanie Laurent???
RépondreSupprimercomment peut-on?....
RépondreSupprimerC'est marrant cette manière de faire du jeunisme. Quel âge tu crois que j'ai ? Enb tous cas, ça t'arrage d'opposer ta jeunesse ,à ma sup^posée vieillesse. Et si je suis plus jeune que toi ?.. Toi qui es déjà vieux dans ta tête, prêt à haïr des gens, déjà ...
RépondreSupprimerJe me compare à une eau qui est gelée au fond et ne s'agite qu'à la surface, car rien ne m'intéresse et ne m'amuse dans mon fond, surtout quand j'ai la colique.
RépondreSupprimerSource : Citation surface - 99 citations sur surface - Dicocitations ™ - citation
"C'est marrant cette manière de faire du jeunisme. Quel âge tu crois que j'ai ? Enb tous cas, ça t'arrage d'opposer ta jeunesse ,à ma sup^posée vieillesse. Et si je suis plus jeune que toi ?.. Toi qui es déjà vieux dans ta tête, prêt à haïr des gens, déjà .."
RépondreSupprimerTu te moques du monde, c'est toi qui parles de "si jeunes, si tristes". Perso je sais depuis bien longtemps que le temps ne fait rien à l'affaire, et que quand on est con...
Espérer, oui bien sur, une fille qui s'engage aussi à fond dans tout ce qu'elle fait (avez-vous vu son interprétation de Lili dans Je vais bien ne t'en fais pas). Je préfère être dans cette attitude que toi, prêt à tirer à la kalashnikov à priori. Attitude vieille et frelatée.
RépondreSupprimerQuand on est con, tu es con, anonyment et lachement bien sur ...!...!:
RépondreSupprimerLuc Besson ou Danièle Thompson s'engagent à fond dans tout ce qu'ils font, ça ne les empêche pas de faire de la merde.
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup aimé Mélanie Laurent dans "Je vais bien ne t'en fais pas "(que j'avais d'ailleurs trouvé touchant, je te rappelle que je ne suis pas un auteur du blog), mais depuis je ne vois rien qui soit au niveau, ni dans ses performances d'actrice ni dans les films qu'elle choisit (dans Inglorious Bastard c'est l'exemple même de la mauvaise actrice). Après peut-être que son propre film sera intéressant, mais c'est vrai que, a priori, ça ne me fait pas baver d'envie (et tu ne m'en voudras pas pour ça : je n'aime pas son film par avance, toi as déjà envie de le défendre, chacun sa croix :) )
Mais elle est nulle cette fille. Elle peut s'investir à fond dans ce qu'elle fait, elle est nulle. Elle devait être ce genre d'élèves qui font pitié aux instit' dès le CP. Elle devait se donner à fond dans ses disserts' de philo pour finir avec de très généreux 9/20 de la part d'un prof compatissant envers son effort, agrémenté du commentaire "Dégage !" dans la marge (ce qui fait toujours tache sur une copie). Enfin c'est cool, grâce à sa grosse tronche en bois, elle a "réussi".
RépondreSupprimerOh c'est plutôt que mon prénom ne change pas grand chose à mon propos. Mais faisons donc les présentations, c'est plus correct : Sabine, enchantée
RépondreSupprimerY'a un terme pour définir la carrière de Laurent, c'est "promo canapé".
RépondreSupprimer"Mais elle est nulle cette fille. Elle peut s'investir à fond dans ce qu'elle fait, elle est nulle. Elle devait être ce genre d'élèves qui font pitié aux instit' dès le CP. Elle devait se donner à fond dans ses disserts' de philo pour finir avec de très généreux 9/20 de la part d'un prof compatissant envers son effort, agrémenté du commentaire "Dégage !" dans la marge (ce qui fait toujours tache sur une copie). Enfin c'est cool, grâce à sa grosse tronche en bois, elle a "réussi". "
RépondreSupprimerCa y est, pauvre con, t'as fini d'éjaculer ?
Au dodo, mon vieux.
RépondreSupprimerN'oublie pas que demain tu dois aller superviser le tournage du nouveau Gérard Krawczyk...
Je vous encule tous !
RépondreSupprimerCa y est, je sens que je rentre dans le registre de langue de ce site. Bande d'enculés.
Eh Groszéro va te coucher, tu vas faire craquer ta gaine, à ton âge c'est pas raisonnable. Allez au dodo, le QI ras des paquerettes !..
RépondreSupprimeren quoi la sodomie passive est-elle une tare? toi qui défendais ruqier
RépondreSupprimerC'est l'hosto qui se fout de la charité!!
RépondreSupprimerLe cinéma, c'est cacher.
RépondreSupprimerJe t'imagine trop avec la tronche de Philipp Noyce maintenant, Eric Cour.
RépondreSupprimerhttp://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8b/Phillip_Noyce_by_Gage_Skidmore.jpg/220px-Phillip_Noyce_by_Gage_Skidmore.jpg
http://www3.pictures.zimbio.com/bg/Jolie+is+dusty+and+salty+_-wara2zs18l.jpg
tu fous un peu les j'tons.
J'adore ce film :) Merci d'en parlé aussi bien !
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