

C'est toute la communauté hispanique américaine qui est divisée dans ce procès où deux de ses principaux représentants s'affrontent à couteaux tirés : Samsonit Mendès et Cameron "Diaz". Mais au-delà de ce coup marketing savamment orchestré par Sammy "Bouajila" Mendès - désormais l'auteur du plus grand procès qui aura embrasé les États-Unis et qui fera jurisprudence dans le domaine des "droits d'auteur" autour de la question suivante : "La date peut-elle jouer le rôle de facteur décisionnel dans une affaire ou dix ans d'écart viennent donner raison à un des partis du procès ?" - au-delà de ce coup d'État promotionnel donc, rien ne transpire de l'œuvre de Mendès, si ce n'est la sueur artificielle de Kate Wetslip. A ses côtés, un Leonardo DiCaprio éternellement adulescent (prochainement à l'affiche du Petit Nicolas dans le rôle titre), dont le jeu d'acteur fait des bulles une fois dirigé par le petit-fils de l'homme politique français le plus mémorable de la IVème République. Les acteurs ne sont pas aidés par des costumes qui tiennent debout tout seuls, ni par un troupeau de trompettes de jazz qui couvrent leurs voix pour faire années 50, et encore moins par un cinéaste plus enjoué à l'idée de filmer le vieux tacot d'époque qu'il aura loué avec son argent de poche que les acteurs assis dedans.

Quid de Sam Mendes, l'artiste, qui fait un blocage sur le bitume puisque depuis son coup d'éclat avec American Beauty il a pu se consacrer entièrement à sa première passion : la chaussée. Sur la route il y a deux façons d'avancer, en marche avant ou en marche arrière, et Sam Mendes s'échine à nous le rappeler ici par une suite gerbante de flashback et autres flashforward à en perdre la boussole. Après Road to Perdition et Revolutionary Road, mon petit doigt m'a dit que le prochain film de Sam Mendes sera son plus long métrage et qu'il concernera la fameuse Road 66. A une lettre près il nous aurait pondu un biopic de Toad, l'homme-gland amant de la princesse Daisy et méga pote de Luigi et Koopas Troopas dans la série des Mario Kart.
Les Noces rebelles de Sam Mendes avec Leonardo Di Caprio et Kate Winslet (2009)
C'aurait été en effet révolutionnaire que de consacrer un movie à un champignard !
RépondreSupprimerA une lettre près il nous aurait pondu un biopic de Toad, l'homme-gland amant de la princesse Daisy et méga pote de Luigi et Koopas Troopas dans la série des Mario Kart.
RépondreSupprimerL'article se réduirait à ça, il serait quand même bon.
Approbez!
RépondreSupprimerQuid !
RépondreSupprimerLa tronche qu'a tirée Caprio en lisant cette critique :
RépondreSupprimerhttp://media.tumblr.com/tumblr_lpneqigcV81qcvyp7.gif
mouahahaha ^^
RépondreSupprimerÇa donne envie de voir le film :
RépondreSupprimerhttp://veraellens.tumblr.com/post/70627371862/you-were-just-some-boy-who-made-me-laugh-at-a
C'est fin...
Supprimer