12 août 2013

District 9

Récemment ce cher Spike Lee a publié sa liste des 86 films indispensables à tout cinéaste en herbe. Soit, parce que ça revient au même, des 86 meilleurs films du monde selon lui. Comme devant la plupart des listes du genre, on a envie de s'arracher la tronche en la lisant. D'abord, pourquoi 86 titres et pas 100 ? N'est-ce pas un aveu ? Spike Lee, réalisateur méritant, n'a sans doute pas pu aller plus loin malgré 86 nuits sans dormir (il trouvait un film important par nuit, à chaque fois à l'aube, d'après ses dires). N'a-t-il vu en tout et pour tout que 86 films dans sa vie ? Et il donne des cours dans une grande école de ciné, celle de New-York, rien de moins, ça fait réfléchir. Y'avait pas mal de bogues dans sa liste qui plus est. L'homme nous place Dirty Pretty Things de Stephen Frears, Big Mamma de Raja Gosnell, Kung Fu Panda de Stephen Chow et Rasta Rockett de Jon Turtletaub, soit pas mal de films de renois mais pas l'ombre d'un Renoir, pas le soupçon d'un Murnau ou d'un Ophuls, pour ne citer qu'eux. Pas l'ombre d'un Jan de Bont non plus... 




Que fait-on quand on est étudiant face à ça, et que le prof exige qu'on ait vu la moitié de sa liste avant la fin du premier semestre ? Spike Lee doit faire partie de ces profs qui se ruinent pour l'année dans un premier cours démarré sur des charbons ardents. Point positif pour Spike Lee, il se traîne une réputation de pur dirlo de recherche. L'homme répond aux mails. Il les lit, puis il répond. Un pur dirlo. C'est quelque chose qui n'est pas assez dit sur lui. Mais pour revenir à sa liste d'enflure, c'est typiquement celle qui finit en boule au fond du sac de cours et qu'on ressort dix ans plus tard. Elle est devenue belle, visuellement, c'est un beau papier, jauni, écorné, tâché d'encre par endroits. Après c'est toujours autant de la merde quand on lit le papelard, et on le jette en repensant à tout ce qu'il a vécu malgré lui (jour de l'an chez Rabois, pintes de bière coupée à la pisse au Bar de la Lune, déambulations dans les rues, et ainsi de suite).

Dans cette maudite liste de 86 films classés par ordre alphabétique des prénoms (ce qui n'a aucun sens, AUCUN, et Spike Lee ne se mouille pas en évitant un vrai classement par ordre d'importance. Au fait, on vient de piger pourquoi y'en a que 86, les 14 manquants sont signés Spike Lee.........), on retrouve aussi, D9, aka District 9, de Neill Blomkamp (qui a eu notre sympathie immédiate, parce qu'il nous évoquait les facéties pédestres de Dennis Bergkamp, l'un des plus grands joueurs de football de l'histoire, qui aurait pu être le plus grand s'il n'avait pas été hollandais et s'il n'avait pas été victime d'une phobie de l'avion qui l'a tenu éloigné de toutes les grandes compétitions du siècle passé. Il n'a participé qu'à une coupe du monde, la plus belle, l'unique en fait, celle de France 98, et il a réussi, après 18 heures de train éco téoz, à faire un contrôle majestueux devant le but et à crucifier le goal Carlos Roa de la plus belle des façons, une vraie danseuse étoile...).




On avait envie d'adorer District 9, qui raconte comment des extra-terrestres échoués sur la Terre vingt-huit ans en arrière ont été parqués dans un bled d'Afrique du Sud et y sont abandonnés à leur sort tandis que les humains cherchent en vain à utiliser leurs armes, d'une puissance extraordinaire mais ne répondant qu'aux aliens, du moins jusqu'à ce qu'un journaliste finisse par être contaminé et se transforme peu à peu en "crevette" de l'espace. On s'était mis à genoux devant la télé avant de le lancer. C'était l'époque où on était colocs et où chaque film maté ensemble avait droit à son cérémonial de malade. Certains impliquaient le déboutonnement de nos pantalons, d'autres une prière en direction de l'écran (et de la Mecque) dans un silence imposé. Le film de Blomkamp en fit partie. Et pourtant... La déception fut immense, surtout après avoir maté l'intégralité du film à genoux sur le carrelage. Pourtant on a une certaine marge de tolérance envers les films que l'on comprend mal ou qu'on n'arrive pas à suivre, comme La Dame de Shangaï d'Orson Welles, 2001 l'odyssée de l'espace de Stanley Kubrick et quelques autres, ces films auxquels on ne pige pas tout mais qu'on trouve géants. Du coup pendant tout le film de Blomkamp on a emmagasiné, puis au bout d'un quart d'heure le cérémonial s'était transformé en bazar de l'épouvante. La dimension politique du film nous a complètement échappé, déjà. Avec nos deux notions historiques, c'est pas toujours facile. On était au courant qu'un certain Nelson Mendesfrance avait combattu les blancs avec l'aide des hollandais depuis sa prison, pour finir président de la NFSEA, mais pas plus. Ce brillant homme a notamment raconté tout ça dans un épisode de En Apartheid avec Pascale Clark. Voici ce que nous savions en conjuguant nos savoirs respectifs, quitte à rompre le silence de cathédrale qu'on s'était imposés au départ, afin de s'entraider un peu.




Quant au reste, les zones d'ombre du script sont légion. La cohérence du récit est aux abonnés absents. Il y a un truc que nous n'avons pas pigé et qui nous a bien fait tiquer, c'est comment les êtres humains et les extraterrestes arrivent à communiquer ? S'ils n'y parvenaient pas, on pourrait mieux comprendre pourquoi les premiers ont choisi de concentrer les seconds dans une zone, en les traitant comme de la merde ; mais là, ils arrivent à causer, ils peuvent tout se dire, échanger sur tout, mais non, ils préfèrent s'entretuer... Les hommes arrivent à communiquer avec les aliens qui s'expriment pourtant manifestement dans un esperanto immonde digne des pires bushmen d'Australie, mais ils ignorent complètement d'où ils viennent, pourquoi ils se sont arrêtés en Afrique du Sud, pourquoi leur vaisseau est en panne, pourquoi ils ont perdu une sorte de boîte noire qui les a rendus complètement cons et désœuvrés, et au lieu de leur poser des questions (d'autant plus que les aliens ont l'air assez causants et conciliants), ils leurs balancent de la bouffe pour chat et les autopsient de longue... Autre couac : dans leur zone, les crevettes ont des armes de destruction massive, ou quasiment. Il leur suffit d'appuyer sur un bouton et ça fait tout exploser. Ils ont ça à disposition. Mais pourquoi ne s'en servent-ils donc pas pour foutre la race aux humains, ou juste ce qu'il faut pour ensuite tracer chez eux ? Suspect




Y'a plein de petits trucs que nous n'avons pas pigé. Les aliens ressemblent à des crevettes monstrueuses de trois mètres de haut et ont un comportement assez violent, sans pour autant (au début du film) susciter la haine de militaires bas du front. Plus d'une fois dans le film un alien arrache un bras à un soldat par mégarde ou pour jouer et les autres marines autour regardent ça sans trop réagir, alors que logiquement ça appelle une boucherie immédiate et définitive. Enfin bref, ça ne tient pas debout une seconde ce gros merdier. Un autre truc que nous n'avons pas du tout pigé, c'est pourquoi les américains, qui veulent voir partir les aliens et se font chier à mettre en place une expulsion administrative parfaitement risible, s'échinent à empêcher ces derniers de rejoindre leur vaisseau mère pour déguerpir. Nous ne comprenons rien... Si vous connaissez les réponses à toutes ces questions, nous sommes prêts à retirer les "captcha" pour que vous puissiez poster des commentaires plus facilement.




Nous en tout cas on a mille questions à poser à Neill Blomkamp. D'abord, pourquoi un "m" avant un "k", alors que la règle d'or veut qu'on ne mette un "m" au lieu d'un "n" que devant un "b" ou un "p", exception faite du mot "bonbon" et de pas mal d'autres mots, mais pas Blomkamp, nous avons vérifié. Ensuite on aimerait lui demander si ce film est bien, comme nous l'avons lu, une sorte de remake d'un court-métrage qu'il avait réalisé 5 ans plus tôt. Si tel est le cas c'est vraiment une histoire qu'il porte en lui depuis des lustres, un scénario qu'il a pu peaufiner pendant des années, et un message qui lui tient à cœur et qu'il veut véritablement partager avec le plus grand monde. Dans ce cas pourquoi choisir une forme cinématographique si peu amène à la communication ? Ce qui nous amène à une autre question, plus taffée de notre côté : au début du film, on est face à une sorte de collage d'images d'informations télévisées, des bouts de reportages filmés par des personnages du film, donc façon amateur, found footage. Mais ce concept, très en vogue ces dernières années, est abandonné sans préavis au beau milieu du film, au moment où le personnage commence à se transformer en crevette et même à devenir une pure gambas, car il est très con au départ de l'histoire et gagne en neurones au fil du temps. Sauf qu'aucun changement d'esthétique ne survient. On reste dans une forme télévisée suffocante. Le filmage, extrêmement épuisant en soi, à base de mouvements de caméra brusques et permanents dans des plans montés par un épileptique, reste identique. Regarder ce film c'est presque comme une après-midi passée au naked-paintball, le paintball sans protections et sans vêtements. Si vous avez des réponses à ces questions-là, idem, on vous attend dans les commentaires, mais cette fois-ci on remet les captcha. Si vous savez répondre à ça vous savez aussi recopier les trois chiffres d'une captcha.




Dans beaucoup de critiques, notamment dans celle des Cahiers du Cinéma de l'époque, on peut lire, les larmes aux yeux : "Neill Blomkamp (seulement 30 ans !)". C'est pourtant pathétique de faire un film aussi débile à déjà 30 ans, la preuve c'est qu'il l'a écrit 5 ans plus tôt, donc qu'il a eu l'idée 10 ans plus tôt, et avoir une telle idée à 20 ans c'est déjà avoir un beau retard... Même combat pour Nolan avec Inception, Cameron avec Avatar ou Del Toro avec Pacific Rim. Ces cinéastes se vantent d'avoir eu l'idée de ces films au bahut ("et en taule" pour Del Toro), mais pas besoin de s'en réjouir, parce que ça se voit, et ils ne font que donner le bâton... On a pourtant quelques éléments de comparaison, ne serait-ce que le plus fameux : Orson Welles a réalisé Citizen Kane à 26 ans. On peut aussi penser à Godard qui a tourné A bout de souffle à 29 ans, au Roi Pelé qui soulevait sa première coupe du monde à 16 ans, à Camille Lacourt qui levait son premier dauphin à 8 ans, et ainsi de suite.


District 9 de Neill Blomkamp avec des crevettes non-décortiquées (2009)

29 commentaires:

  1. Découvert ce bloque récemment pour y lire avec horreur des critiques d'un niveau aussi élévée que la pire des séries Z. Je n'ai même pas envie de me fatiguer à trouver des arguments de défense tant cette attitude cynique ne fait que se multiplier sur le oueb.

    La déstruction gratuite est facile, trouver des arguments qui explique le pourquoi du comment est déjà plus délicat. Enfin, il ne faut pas en vouloir aux tenanciers des lieux qui, comme l'indiquent l'article ci-dessus, ne sont que des footeux affalés dans la bière.

    Un site de petits malins comme il en naît toujours plus autour du cinéma mais dont l'intérêt est proche du néant....

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  2. Très bien mais ça ne répond pas aux arguments de l'article comme la vacuité du propos politique alors que le film se donne un genre dénonciateur ou la simple logique du récit...
    Les effets spéciaux, le montage staccato, les scènes d'action et la mise en scène façon "reportage" servent surtout à masquer de gros trous scénaristiques avec du bruit et des explosions.

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    1. "Dennis Bergkamp, l'un des plus grands joueurs de football de l'histoire, qui aurait pu être le plus grand s'il n'avait pas été hollandais et s'il n'avait pas été victime d'une phobie de l'avion qui l'a tenu éloigné de toutes les grandes compétitions du siècle passé. Il n'a participé qu'à une coupe du monde, la plus belle, l'unique en fait, celle de France 98, et il a réussi, après 18 heures de train éco téoz, à faire un contrôle majestueux devant le but et à crucifier le goal Carlos Roa de la plus belle des façons, une vraie danseuse étoile..."

      Waaaah !! Super les arguments ! Ca et la "liste" de Spike Lee suivit de notes débiles... Le problème à ce stade n'est pas de déterminer si le film est bon ou mauvais mais juste la profonde connerie teinté de cynisme des rédacteurs de ce torchon. Je veux bien que la critique digresse (c'est là où elle est à mon avis constructive) Mais il n'y a rien de tout cela ici, juste quelques personnes, comme beaucoup d'autres qui croit faire preuve d'une érudition qu'ils n'ont pas.

      Je n'ai pas envie de discuter cinoche avec les gens d'ici et ce peu importe les qualités du film ! Au fond je n'ai posté qu'un coup de gueule me faisant la remarque que la critique destructive se retrouve dans 99% des sites de ce genre.

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    2. Les fans vexés, on les reconnaît. Vexés qu'on puisse s'en prendre à leur chouchou et en plus en se marrant. Incapables de défendre leur film chéri, et inquiets à l'idée qu'on leur demande de le faire : "Il s'agit pas du film, bon ou mauvais c'est pas la question, c'est juste que vous êtes des connards !". Et donc, comme seule défense, l'attaque, ad hominem de préférence. Vous faîtes une référence au football donc vous êtes de gros ignorants, de simples footeux adipeux accros à la bière. C'est pas un beau raccourci ça ? Et ça demande de la "critique constructive" après... Je rigole.

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    3. Gros teubé !

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    4. Je t'invite à chercher "cynisme" dans le dictionnaire, si par miracle tu es moins bête que tu en as l'air tu comprendras qu'il a osé n'est jamais cynique.

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    5. @Josette K : Trés bonne remarque, mon clavier a rippé et je n'aurais jamais du écrire ce mot puisque ce blog n'est pas cynique (obédience qui peut se targuer d'origine ancienne et fort respectacle) mais n'est tout simplement que l'émanation d'un état d'esprit déplorable pour lequel je n'ai pas de nom mais un certain dégoût.

      @Clarence Seedorf : Comme signalé plus haut, le sujet n'était pas de savoir si le film était bon ou pas (si vous savez lire...) mais de savoir si la critique était pertinente ou non ! Etant donné le style déplorable, moqueur et rase-bitume des auteurs (mais hélas dans l'air du temps, ce qui fait que ce blog est plus une maladie qu'autre-chose...) je dirais que cela ne marche pas. Il faut un minimum de style pour faire une critique, fusse t-elle positive ou négative. Il y a lard et la manière...

      Par exemple, ça, ça marche : http://odieuxconnard.wordpress.com/

      Le texte est enlevé, non dénué d'humour et d'une pointe d'intelligence, à l'inverse des petites vannes pathétiques présentées ici. Les références au football sont tirés du texte et ne sont pas de mon faits. Elle ne renvoie que l'image que vous y mettez.

      Sur ce, vous me fatiguez.

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    6. Comme quoi, l'égoût et les couleurs...

      Moi ce que j'aime ici, c'est que contrairement à ton odieuxconnard et ses dix mille copains "J'plaisante! Deuxième degré!" qui pullulent sur Internet, il a osé ne prend pas le lecteur pour un con, ne lui fait pas quinze clins d'oeil avant de faire une blague, ne met pas ses lunettes et sa veste en tweed quand il s'agit d'être sérieux.

      Que tu fasses une fixette sur cette histoire de football en dit long à la fois sur ta capacité à déchiffrer lesdites blagues, et à rejeter en bloc chez l'humain la possibilité d'apprécier à la fois un film de Bergman et un contrôle de Bergkamp.

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    7. @Josette K : Je ne sais pas si admirer des chimpanzés suants comme des porcs dans des maillots aux couleurs immondes payés plus de 15K€ pour jouer à la baballe aux pieds est un signe d'intelligence mais bon, comme je n'ai pas la science infuse je peux me tromper...

      En ce qui concerne (encore une fois) les articles postés en ces lieux, certains sont si poussifs et emprunt de mépris envers celui qui apprécie les titres conchiés que cela en devient très déplaisants. Les auteurs semblent penser détenir la science infuse en matière de bon goût cinématographique, soit !! Qu'il le montre alors dans leurs logorrhés...

      Si encore il essayait de nous refiler, dans le cas présent, des perles cinématographiques d'afrique du sud disgressant de science-fiction... Mais non ! A la place on a au moins trois paragraphes hors-sujet débiles (et ce n'est pas le premier article à pratiquer cette technique absurde).

      Enfin bref, effectivement l'égout et les odeurs se discutent difficilement comme vous le dites si bien, ce qui implique que quand on se risque sur ce terrain il faut le faire avec beaucoup de précaution, de classe et d'érudition... Ce n'est pas le cas ici.

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    8. On a pigé que tu n'aimes pas te sentir méprisé par des gens qui aiment bien le football et que cela suffit à désigner comme les cibles idéales de ton propre mépris. On a pigé que ce blog ne te fait pas rire et que l'absurde t'échappe complètement, surtout quand ça touche un film que tu as aimé mais que tu es incapable de défendre, ce qui te donne des envies de meurtre et de censure que tu réprimes difficilement. On a pigé que tu détestes les gens qui croient tout savoir, et dont tu sais tout en te basant sur la lecture d'une poignée d'articles et sur une référence à un footballer. On a pigé aussi que personne ici n'est assez érudit pour toi (qui fais montre par ailleurs de grosses difficultés avec l'orthographe et la grammaire). On a pigé. Suffit.

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    9. "admirer des chimpanzés suants comme des porcs dans des maillots aux couleurs immondes payés plus de 15K€ pour jouer" : Tu réalises que cette définition imbécile peut tout aussi bien s'appliquer au cinéma ?

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    10. @Josette K : Oui, pourquoi pas mais cela dépend de beaucoups de paramètres...

      @Marc Overmars : Concernant l'aurtografe, je ne vais pas me briser la caftière à vérifier les commentaires ici présents pour vous plaire... Souffrez donc mes quelques approximations et fermez là sur ce sujet si vous n'avez rien de plus intéressant à dire !

      Concernant le film : Vous savez lire ?? A quel moment ai-je dit que j'appréciais, ou non le film ? Réponse : Nulle part, votre réplique est donc hors sujet et non pertinente ! Encore une fois, il faut bien lire avant de répondre des inepties.

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    11. Frank et Ronald De Boer13 août, 2013 15:59

      Tu te fous du film, tu te fous de le défendre, tu te fous de faire gaffe à ce que t'écris (ça te "brise la caftière" de te relire ? triste sire), tu te fous de ce blog. Mais qu'est-ce que tu fais là ? T'es en colère contre ce genre d'espace d'expression ? C'est dit. Maintenant TA GUEUUUUUUUULE.

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  3. Jack van Gelder12 août, 2013 11:42

    Met eh balbezit voor Frank de Boer,
    Frank de Boer speelt de bal,
    heel goed naar Dennis Bergkamp.
    Dennis Bergkamp,
    Dennis Bergkamp
    neemt de bal aan Dennis Bergkamp,
    DENNIS BERGKAMP!
    DENNIS BERGKAMP!
    DENNIS BERGKAMP!
    DENNIS BERGKAMP!
    DENNIS BERGKAMP!

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  4. "En apartheid avec Pascale Clark" :D :D :D
    VOUS ÊTES FOUS

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  5. bizarrement, j'ai vu ce film et j'ai toujours rien compris..

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  6. J'ai toujours cru que ce film était un film de merde DU FAIT qu'il était sud-africain (blanc), un peu comme le groupe de zik, là, avec le frère et la soeur dégénéré, j'ai oublié le nom. On s'en branle, finalement. Ah ouais, Die ANtwoord. pour moi ce film c'est Die Antwoord. C'est de la merde. j'l'ai pas vu.

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  7. Philippe Baptiste12 août, 2013 18:39

    Ce film ne m'avait pas gêné pendant le premier visionnage, par la suite j'ai vu tous les défauts, pour au final ne pas réussir à le terminer. Disons que je n'étais pas ulcéré comme devant Inception (puisque vous faites une comparaison).

    Pas aussi catastrophique que vous le présentez, mais pas mirobolant pour autant.

    (Avouez que quand le mec a la gerbe pendant son annif c'est drôle ! )

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  8. Excellent papier mais la première coupe du monde du génie Pelé c'est 17 ans et non 16 :) Pour le film je ne l'ai pas vu mais j'ai passé l'âge des E.T et autres aliens donc je vous fait confiance.

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  9. Je garde qu'un très vague souvenir de ce film mais il vaut le coup d'exister au moins pour ce papelard trop con (trop bon). La dernière vanne avec Camille Lacourt m'a achevé :D
    Simon

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  10. Le paragraphe avec Nelson Mendesfrance et en apartheid de Pascale Clark, c'est bien marrant:) Écrire des conneries de la sorte en digressant perpétuellement tout en restant toujours lisible et - in fine - dans le sujet, c'est un talent je pense...

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  11. Elysium déçoit ! Démarrage timide au box office US, critiques américaines très réservées, notes banales sur IMDb, Rotten Tomatoes, Metacritic, Hijodepu'...

    Il est ptêt' pas mal !...

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  12. Ah c'est bien, il a fini par fermer sa gueule l'autre.

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    1. Et j'ai même pas eu à intervenir !

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  13. Dans le genre critique constructive, comment vous dire ? Vous avez des présupposés idiots et vous voulez donner des leçons ? Par exemple vous supputez que le simple fait que la communication existe suffirait à empêcher cette politique de containment. Mais bien sûr ! la communication, ce truc génial qui fait qu'aux Rwanda on ne s'est pas massacré entre voisins à coup de machette. Dommage que Clemenceau n'ait pas essayé de parler allemand, on aurait éviter la guerre de 14... Aller Tchao !

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    1. Somatoline Cosmétique, ça fonctionne merde !07 avril, 2014 22:14

      Tchao l'artiste! Et n'hésite pas à ouvrir des bouquins d'histoire, tu diras moins de conneries ;)

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