En 1982 Cédric Klapish réalisait son film matrice, dont l'affiche est un enfer kafkaïen de tricards Erasmus. Ce genre d'affiche a fait florès depuis, et ce sont autant de viols rétiniens dans les rues de nos villes. Et c'est là que cette chronique de société se transforme en véritable
affichographie (car non, je n'ai pas envie, en 2010, de parler de L'auberge espagnole, sorti en 2002). Vous avez tous croisé la nouvelle campagne d'affichage
anti-tabac, où il est question d'une fellation contrainte, et
qui fait scandale. Mais que dire, puisqu'ici on ne cause
que cinoche, de ces affiches de films d'horreur minables qui reprennent
fréquemment le vieux thème de la femme-meublier, de la femme-tabouret,
sur laquelle on s'assoit. Sur l'affiche de La Maison de cire, comme sur celle de La Colline a des yeux,
et de tant d'autres longs métrages destinés à l'adolescence dorée
américaine et mondiale, c'est tout un pan du cinéma gonzo qui est
revisité.
Ces séquences où acteur porno s'attaque à une actrice penchée en avant sur une table ou un canapé, coincée là sous un pied posé sur sa joue. Ces scènes sont parmi les plus accablantes du cinéma hard dit "gonzo". Mais quand cette imagerie envahit les rues de nos villes, comment ne pas être contaminé par ce qu'elle véhicule. Peut-être en écrivant cette horreur.
Mettons que je n'aie rien dit.
L'Auberge espagnole de Cédric Klapisch avec Judith Godrèche (2002)
Je reconnais bien là l'imagination galopante de Totole.
RépondreSupprimerFrido.
Ce que vous écrivez est une honte et ce blog devrait être fermé! c'est inadmissible d'écrire des choses pareilles, vous êtes d'une vulgarité, d'un machisme et d'une débilité incroyables !! J'espère très sincèrement qu'un jour on vous collera un procès sur le dos.
RépondreSupprimerLa solution à tout : un procès. Je ne suis pas d'accord avec toi : je t'envoie en prison, je te prends ton argent. Le futur....
RépondreSupprimerTu mériterais d'aller en taule avec 10 négresses récemment sortie de Chatelet pour avoir dit ça.
RépondreSupprimerc'est un des textes les affreux que j'ai lu
RépondreSupprimerIl y a des psychologues pour parler de ce genre de choses.
RépondreSupprimerBientôt la suite de la suite : "Casse-tête chinois"
RépondreSupprimerhttp://www.ecranlarge.com/article-details-23768.php
:-/
C'est pas très beau ce que vous avez écrit la mais malheureusement cela est vrai surtout dans la société du 21 ème siècle : les gens sont avide de pouvoir
RépondreSupprimerC'est juste qu'il faut reconnaître que le pouvoir que les femmes ont sur nous, c'est à dire 1) nous faire triquer et 2) se refuser à nous dans le même temps, peut salement énerver. D'où une volonté de revanche humiliante à base de blacks bien membrés. Quand on a appris à reconnaître cette pulsion revancharde, il y a des solutions pour ne pas passer par la case prison: masturbation, castration chimique, lecture de l'autobiographie de Margaret Thatcher.
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