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6 octobre 2008

Good Bye Lenin !

Ce film-là c'est un des grands classiques du cinéma que je n'avais pas encore vus, aux côtés de Good Morning Vietnam, Se7en, La Mort aux trousses ou Kundun. Il fallait à tout prix que je le voie, et j'avais peu d'excuses étant donné qu'il est diffusé trois fois par mois sur Arte (chaîne souvent beaucoup plus Allemande que Franco-), contrairement à des films qu'on n'a jamais le loisir de croiser dans Télépoche, à l'instar du film Kundun. J'ai loupé le bébé de Wolfgang Becker trois fois ce mois-ci, et bien loupé. Faut dire que j'achète le journal mensuel Télé 2 semaines, et le film a été programmé trois fois dans la quinzaine manquante de ce magazine. Bref entre Goodbye Lenin! et moi c'est une longue histoire du chat et la souris. Jusqu'à ce soir j'arrêtais pas de dire "Faut que je le voie, faut que je le voie, faut que je le voie". Et je l'ai vu. Good Bye Lenin! je le place aux côtés de Star Wars et de son R2D2 de mes deux, parmi les films soi-disant classiques sur lesquels je chierai tout mon saoul.




Good bye Good bye Lenin! et Good Morning Kundun.


Good Bye Lenin ! de Wolfgang Becker avec Daniel Brühl (2003)

7 commentaires:

  1. Je déterre un cadavre du blog plutôt bien oublié, là. Désolé.

    En fait, ce film a attiré mon attention car il décorait la salle d'allemand de mon collège et de mon lycée. Imaginez vous retrouver deux matins par semaine en face d'un Daniel Brühl monochrome de 2 m sur 1,5 avec un oeil plus haut que l'autre (soit l'affiche a été faite avec les pieds soit le type a lancé sa carrière dans un cirque section "Curiosités" de la nature) !
    Vous finissez par vous demander ce qui a poussé ces germanophiles à accrocher une affiche pareille.

    Bref, j'ai vu le film et il m'a paru ennuyeux et peu ambitieux. Je ne comprends moi non plus cette vénération sans pour autant le détester. Je veux dire, c'est un film pour la mémoire à court terme : Aussitôt vu, aussitôt perdu.
    Mais vous, vous semblez lui reprocher plus que ça. Non ?

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    1. J'ai découvert ce film au cinéma, l'année de sa sortie, à l'occasion d'une sortie avec le lycée... C'est le film favori des profs de bahut faut croire, du moins des profs qui ne connaissent rien au cinéma mais qui se chient dessus dès que ça cause vaguement Histoire.

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    2. :D

      Les profs de français adoraient de leur côté le Cyrano de Bergerac de Jean-Paul Rappeneau. Il m'a été projeté deux fois !

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  2. Euh, c'était pas vraiment une question rhétorique. :/

    Mon propos ne présentait pas un grand intérêt, ça je sais, mais j'aurais aimé avoir un avis des auteurs et des lecteurs d'ici; voir ce qui rend le film vraiment méprisable.

    Puis, dans un blog dont la devise invite au dialogue, pourquoi ne pas aussi en avoir un didactique ?

    Good Bye Lenin a-t-il tellement peu marqué l'histoire du cinéma que personne n'a plus d'idée dessus ?

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  3. Ne prends pas notre silence pour du mépris ou du dédain, c'est juste que nous avons été très occupés et qu'on n'a pas pu te répondre tout de suite.

    D'abord merci d'avoir posté les premiers commentaires à ce petit et bien vieil article :D

    Ensuite bravo, pour avoir enduré l'affiche de ce film des heures, que dis-je, des années durant, et, pire que tout, dans une salle de classe.

    Enfin, je pourrais m'approprier tes mots : "j'ai vu le film et il m'a paru ennuyeux et peu ambitieux". Nous ne lui reprochons pas beaucoup plus que ça à vrai dire. C'est un film comme un autre, un peu historique, un peu anecdotique, qui veut dire le général par le particulier, le tragique par le cocasse, dont le scénario est finalement assez anodin et la mise en scène ma foi sans conséquence. Et si on semble s'énerver contre le film, c'est davantage après son statut d'Amélie Poulain germanique qu'on en a.

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  4. Et encore, lui ne comporte pas de filtre jaune un peu crasseux (on se comprend) rendant impossible tout visionnage correct.

    Pour en revenir au sujet, il ne m'a jamais été présenté d’œuvre éminente traitant de l'épilogue de la Guerre Froide.
    Serait-ce l'absence de conflit armé (excluant partiellement le film de guerre), la multiplicité des lieux de l'action ou même le manque de recul face à cette Histoire très proche qui dissuade les cinéastes à aborder ce thème pourtant passionnant ?
    On m'a vaguement parlé de La Maison Russie adapté du sempiternel Le Carré mais il ne s'agit certainement que d'espionnage...

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    1. Merci Rémi pour ta réponse. :)
      Je suis bien conscient qu'après les multiples articles que vous publiez par semaine, il ne doit plus vous rester grand temps.

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