tag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post8482942757676320484..comments2023-10-30T09:08:55.507+01:00Comments on Il a osé !: Le Jour du vin et des rosesFélixhttp://www.blogger.com/profile/08205543965279106067noreply@blogger.comBlogger6125tag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-35130516527250171102015-07-08T21:53:40.251+02:002015-07-08T21:53:40.251+02:00Un max !Un max !Hamsterjovialnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-46797741853620872102015-07-07T16:55:46.132+02:002015-07-07T16:55:46.132+02:00En taille ? Combien de gigas ?En taille ? Combien de gigas ?Josette Knoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-73891404334834808712015-07-05T21:02:22.219+02:002015-07-05T21:02:22.219+02:00Bien qu'il soit, comme tu le remarques, tout à...Bien qu'il soit, comme tu le remarques, tout à fait sincère (pas du tout dû à un dandysme cinéphile qui chercherait à faire passer le « mineur » avant le « mineur » — 'The Major and the Minor', c'était d'ailleurs le titre du premier film américain de Billy Wilder !), je ne chercherai nullement à imposer mes réserves à l'égard de Wilder : disons que c'était plutôt une occasion pour moi de dire à quel point certains films d'Edwards (pas tous, mais plusieurs d'entre eux) comptent pour moi.<br /><br /><br />En ce qui concerne la musique, je ne suis pas plus spécialiste que toi, particulièrement du point de vue technique, mais quand j'ai vu 'Le Jour du vin et des roses' pour la première fois j'ai été frappé par le fait que ce thème musical, que je ne connaissais auparavant que dans la version formidablement swinguante d'Oscar Peterson, ait pu être à l'origine aussi romantique, et même élégiaque : Mancini a tellement le jazz dans la peau que même ceux de ses thèmes qui paraissent éloignés de ce genre musical prêtent à une réinterprétation de cet ordre.<br /><br /><br />Un certain cinéma romanesque des années 1960 a d'ailleurs donné lieu à plusieurs reprises à des thèmes musicaux très émouvants : les compositions de Kenyon Hopkins pour 'Le Fleuve sauvage' et de David Amram pour 'La Fièvre dans le sang' — deux films successifs d'Elia Kazan —, de Johnny Mandel pour 'Le Chevalier des sables' de Vincente Minnelli (devenue elle aussi un « standard » de jazz), jusqu'à celle, en 1971, de Michel Legrand pour 'Un été 42' de Robert Mulligan.Hamsterjovialnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-78788517154231024142015-07-05T18:26:12.798+02:002015-07-05T18:26:12.798+02:00Si tu as aimé tant mieux :)
En effet ,Le Jour du ...Si tu as aimé tant mieux :)<br /><br />En effet ,Le Jour du vin et de la nuit semble un peu meilleur que Le Poison de Wilder. J'avais été énormément déçu par ce film qui avait par ailleurs énormément la côte aux USA.<br /><br />Je comprends ta réaction, sincère qui plus est, mais je dois admettre à mon humble avis que Wilder malgré quelques films mineurs et un peu mielleux a une petite longueur d'avance sur Edwards. Non pas que je puisse préférer Billy à Blake mais en observant le déroulé de leurs carrières respectives il est très difficile à mon sens de les mettre au même niveau. La Garçonnière est un véritable chef d'œuvre , Days of wine and roses s'en rapproche un peu.<br /><br /><br />Merci pour le rappel sur le cas Lemmon. On a tendance à l'oublier. Malgré ses nombreuses apparitions chez Wilder , il n'en est pas sa créature unique même si cet acteur est quand même l'un de ses modèles préférés.<br /><br /><br />Je n'avais pas évoqué la musique du film car je voulais me baser sur les éléments les plus simples du film. Evidemment le thème musical est un classique mais je ne suis pas assez spécialiste pour en parler. je ne connaissais pas ce film de Quine par ailleursNick Longhettinoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-23233800813425660802015-07-05T10:52:35.174+02:002015-07-05T10:52:35.174+02:00Je ne vois pas de quel film vous parlez dans cet a...Je ne vois pas de quel film vous parlez dans cet article. Avez-vous vu Mad Max? Il est énorme!Déborahnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-42389730534727352842015-07-05T02:26:31.556+02:002015-07-05T02:26:31.556+02:00Merci Nick de revenir sur ce film bouleversant, au...Merci Nick de revenir sur ce film bouleversant, aussi beau que son titre — ce qui n'est pas peu dire. Ton choix de ne pas déflorer ses grands moments est méritoire, car pour ma part je n'aurais sans doute pas résisté au désir de raconter le point de départ, en lui-même excellent, du drame qui est au principe du film (même s'il faut porter le crédit de cette excellente idée au scénariste du téléfilm, antérieur de quelques années, qui racontait la même histoire).<br /><br />Si tant est que cela puisse intéresser qui que ce soit, j'ai à quelques reprises fait part ici même de mes réserves (extrêmement relatives, mais réelles) à l'égard du cinéma de Billy Wilder, alors que je n'en ai absolument aucune à l'égard de celui de Lubitsch, mais il y a indéniablement un « axe » Lubitsch-Wilder-Edwards, et le Jack Lemmon du présent film doit sans doute quelque chose à celui de 'La Garçonnière' de Wilder. Pour autant, de même que je suis plus réellement touché par 'Le Jour du vin et des roses' que par 'La Garçonnière', je préfère de très loin le film d'Edwards au 'Poison' de Wilder, autre film antérieur de ce dernier traitant lui aussi de l'alcoolisme (ça vaut ce que ça vaut, mais en dehors même des malignités wilderiennes qui m'ont toujours un peu agacé, on peut avancer qu'Edwards était plus intimement touché par le sujet).<br /><br />(Ceci étant dit, Wilder n'a lui-même pas inventé de toutes pièces la « persona » cinématographique de Jack Lemmon. Celle-ci était déjà en germe dans 'Une femme qui s'affiche', une comédie épatante réalisée par George Cukor en 1954 dont le point de départ — une jeune femme fraîchement arrivée à New York qui, afin de sortir de l'anonymat, loue un panneau publicitaire pour que son nom y figure en lettres géantes — était lui aussi formidable. Lemmon y jouait le jeune documentariste qui tombait amoureux de l'inénarrable Judy Holliday tout en déplorant son arrivisme, aussi désarmant d'innocence fût-elle.)<br /><br />La musique de Henry Mancini n'est pas pour rien dans l'émotion du 'Jour du vin et des roses' (bien que moins célébré que d'autres, Edwards et Mancini ont formé l'un des plus beaux duos cinéaste-compositeur). C'est devenu un standard du jazz que pour ma part je connaissais avant d'avoir vu le film par une belle version d'Oscar Peterson (beaucoup plus enjouée que celle, très mélancolique, qu'on entend dans le film) :<br /><br />www.youtube.com/watch?v=1ypoE5YB8hc<br /><br />Enfin, après ce trop long développement à partir du texte de Nick (mais c'est de ta faute, aussi, tu m'as remis en tête ce 'Jour" tant aimé !), je me permets de faire le lien avec un film contemporain de celui d'Edwards, lui aussi assez méconnu en France et réalisé par son complice Richard Quine, sécrétant une émotion comparable sur certains points, il me semble :'Liaison secrète' ('Strangers When We Meet', 1960), avec Kim Novak, Kirk Douglas et Walter Matthau.Hamsterjovialnoreply@blogger.com