tag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post344258528316345384..comments2023-10-30T09:08:55.507+01:00Comments on Il a osé !: We Need to Talk About KevinFélixhttp://www.blogger.com/profile/08205543965279106067noreply@blogger.comBlogger43125tag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-34252697064683120812015-07-09T00:47:32.546+02:002015-07-09T00:47:32.546+02:00Je n'aime pas trop la critique... qui est selo...Je n'aime pas trop la critique... qui est selon moi trop dur, alors que ce film ne le mérite pas.<br /> Ce film est l'un de mes préféré, tant de symbolisme et regarder moi ces acteurs ! Ils sont hyper talentueux !<br />Et le film "stoker" reçoit les mêmes compliments.<br />Essayons de comprendre chaque personnages, de comprendre Kevin car d'après ce que j'ai pu comprendre c'est lui la "cible".<br />Je m'arrête là car....<br />Bref, film captivant, intéressant, profond... (personnellement)Anitanoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-44694904254287680862015-04-13T07:32:41.363+02:002015-04-13T07:32:41.363+02:00Jamais lu de ma vie une critique aussi stupide. Si...Jamais lu de ma vie une critique aussi stupide. Simplifications, raccourcis, carcans idéologiques, mauvaise foi, tout y est. Un vrai florilège.Castlenoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-2941567023464098692014-12-10T20:43:08.907+01:002014-12-10T20:43:08.907+01:00Votre critique est honteuse.
Je viens de voir ce f...Votre critique est honteuse.<br />Je viens de voir ce film et pour ma part je ne vois pas le fait que le fils est porteur d'un gène diabolique. Pour ma part le moment où l'ont voit les spermatozoïdes était justement la pour nous suggérer qu'elle allait être enceinte. Cet enfant n'était pas voulu, on voit bien lorsqu'elle est avec d'autres femmes enceinte elle ne se sent pas bien. Elle n'a sûrement pas cet instinct maternel et l'enfant le ressent de l'intérieur (la plupart des choses que vous viviez lorsque vous êtes dans le ventre de votre mère, vous vous en rappelez de manière inconsciente, surtout lorsque c'est un mal être de la mère ou des incidents). De plus elle vit mal son accouchement, en criant comme jamais. Son fils ne l'aime pas dès la naissance même avant qu'elle lui fasse mal au bras. L'unique but de Kevin est de faire culpabilisé sa mère et de la détruire car il ne se sent pas aimé. Il est très intelligent mais veut se faire passer pour bête pour embêter sa mère. Alors que lorsqu'il est avec son père, a une réaction complètement différente. Son père qui, a mon avis, ne le porte pas non plus dans son coeur. Il veut uniquement s'attaquer à sa mère. <br />Pour moi le moment où il se rapproche avec sa mère et se détache de son père le temps d'un soir lorsqu'elle lui raconte une histoire est, parce qu'elle lui apporte une nouvelle passion : les flèchettes (d'ailleurs ce qui pourra surement faire aussi culpabiliser la mère plus tard de lui avoir donner cette passion vu comment cela va se finir.<br />Le père est inconscient de ce qu'il se passe, il est un peu béta. Il est content que son fils l'aime et ne rassure pas sa femme, au contraire il s'en vente. Il ne s'inquiète aucunement du problème de son fils (ou alors peut-être qu'il est tellement con qu'il ne le voit pas.) et je pense vraiment qu'il ne le voit pas parce que franchement pour penser que la gamine s'est crever l'oeil solo avec du destokp faut le faire. Aussi, il ne s’aperçoit même pas que sa femme est enceinte alors que son ventre est bien arrondi et que même son fils le voit.<br />Remarquons aussi qu'il tue son père avant le divorce, encore une fois pour que sa mère souffre encore plus que si ils avaient été ensemble. Bref ce gosse veut simplement sacrifier sa vie pour pourrir celle de sa mère. Et au final, lorsqu'il parle avec sa mère dans la dernière scène il lui dit qu'il pensait avoir des raisons de le faire mais qu'il en est plus sûre parce que justement, il aurait sûrement penser que sa mère ne vienne plus le voir etc alors qu'au contraire elle enchaîner les visites et essayait de le comprendre tout de même<br />Ce qui est dommage dans ce film, c'est de ne pas se voir ce qui se passe à l’extérieur de la maison, la vie que Kevin vit à l'école, collège car, pour moi cela à un grand impact sur l'enfant (et sur tous les enfants en général). Par exemple lorsqu'il explique à sa mère ce que veut dire "baiser" c'est pas anodin, il a bien du l'entendre quelque part.Il a du subir des moqueries de ses camarades dû peut être à son intelligence, son physique, ou sa bizarrerie.D'ailleurs, si il a également tuer ses camarades de classe, c'est qu'il y a une raison. Il aurait pu contenter de tuer juste son père et sa soeur ou des personnes dans la rue. Je pense que les psychopathes sont aussi influencer sur leur vie extérieur et pas que sur la sphère privée qui réside lorsqu'on est chez soi, surtout dans ce film où les parents sont de bon parents. En tout cas c'est comme ça que j'en fais l'interprétation que j'ai.<br /><br />La vrai morale du film, c'est de se dire que les psychopathes ont des mères et qu'elles ne sont pas forcément responsable de la pathologie de leur progéniture. <br /><br />bk.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-85109987077862127152014-10-11T13:30:06.984+02:002014-10-11T13:30:06.984+02:00À Cecil Faux :
Cette fois, cela correspond à un c...À Cecil Faux :<br /><br />Cette fois, cela correspond à un commentaire que j'avais écrit, c'est déjà un point d'acquis.<br /><br />En revanche, malgré le « bien sûr » que vous employez, la question que vous m'avez posée continue de ne pas m'apparaître du tout évidente, et cela sans ironie ni mauvaise volonté.<br /><br />Par défaut, le seul rapprochement que je peux supposer de votre part, c'est celui entre ma critique ci-dessus de l'accumulation de préfixes dans une même phrase, ayant pour but de créer un effet d'accumulation et d'appesantissement dans l'offense (« pré-éjaculatoire », « auto-surévalué ») et, dans mon commentaire du texte sur 'Thunderbolt and Lightfoot' auquel vous renvoyez, le passage suivant :<br /><br />« Le problème que j'ai avec Lumet, c'est que j'ai souvent le sentiment d'être devant du « pré » : pré-jugé ('Douze hommes en colère'), pré-senti ('À bout de course'), ou pré-visible. »<br /><br />En même temps, j'ai du mal à croire que ce soit effectivement ce rapprochement que vous sous-entendez : ce serait faire insulte à votre intelligence que de croire que vous ne voyez pas la différence profonde (au point que cela n'a en fin de compte strictement rien à voir, malgré une très vague ressemblance au premier abord) entre ce qui relève d'un côté d'une facilité de langage propre aux idéologues à courte vue de tous bords, dont le seul but est l'excès offensant, et ce qui relève de l'autre côté d'un petit jeu de langage qui, même s'il ne prétend pas être particulièrement brillant, visait à décrire sur le mode de la critique, et non sur celui de l'offense, une caractéristique particulière, à mes yeux, d'un cinéaste dont je dis clairement par ailleurs que je suis loin de le mépriser, mais dont je tente de relativiser l'importance qu'il a prise dernièrement (je me permets de souligner que j'ai procédé dans le commentaire en question à une répétition délibérée, et précise, du même préfixe — j'ai dit ci-dessus mon horreur des répétitions involontaires, en ce qui concerne ma propre prose —, et non pas à une variation approximative de préfixes censés ajouter, par cette variation même, à l'effet outrageant). Il m'arrive de faire amende honorable dans ces pages, mais en l'occurrence je ne le ferais pas, non pas par mauvaise foi mais parce que, intellectuellement, moralement et stylistiquement, je ne me sens nullement « pris en faute » ou en flagrant délit de contradiction — si c'était là le but de votre intervention.<br /><br />À votre propre crédit, je préfère donc croire que vous parliez d'autre chose (auquel cas tout mon petit développement ci-dessus deviendrait comiquement nul et non avenu !), et dès lors cette discussion gagnerait à ce que vous deveniez plus explicite.Hamsterjovialnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-77507572434247587942014-10-11T01:10:59.780+02:002014-10-11T01:10:59.780+02:00Oups oups oup : « dans la mesure » deux fois dans ...Oups oups oup : « dans la mesure » deux fois dans la même phrase... Mon horreur de la répétition m'oblige à faire amende honorable !Hamsterjovialnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-49948255605018820302014-10-11T00:54:29.886+02:002014-10-11T00:54:29.886+02:00La question de Cecil Faux semble m'être destin...La question de Cecil Faux semble m'être destinée (dans la mesure où c'est moi qui ai employé le terme « demi-habile »), mais je n'en suis pas sûr non plus, dans la mesure où je ne trouve pas trace d'une telle conjonction de date et d'heure (22 septembre à 22h05) sur la page en question. Si ce n'est pas à moi que vous posiez cette question, désolé du dérangement !Hamsterjovialnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-86873583703645018892014-10-10T20:17:16.991+02:002014-10-10T20:17:16.991+02:00Et dans le lien suivant (du 22 septembre 22 h 05),...Et dans le lien suivant (du 22 septembre 22 h 05), a-t-on affaire à un "demi-habile" de gauche ou de droite ? <br />http://ilaose.blogspot.fr/2011/03/thunderbolt-and-lightfoot.html?showComment=1411370747945#c6167627209433074596<br /><br />Allez, sans rancune, c'était pour vous engager à être moins catégorique.<br /><br />Cecil FauxAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-18574092049576294842014-10-09T23:30:43.260+02:002014-10-09T23:30:43.260+02:00La référence négative à l'éjaculation, ça chan...La référence négative à l'éjaculation, ça change un peu de celle à la masturbation, mais c'est tout aussi facile. Comme l'est d'ailleurs l'accumulation de préfixes (« pré-éjaculatoire », « auto-surévalué ») : tic de langage qu'on trouve chez les demi-habiles de gauche comme de droite (Zemmour, pour ne citer que le plus évident), qui se rengorgent de leurs idées au détriment de l'exercice de l'intelligence et de la raison.<br /><br />Votre évocation de la conclusion du texte de Rémi est si dénuée de rapport avec le propos de celle-ci qu'elle ne peut avoir que deux explications : l'aveuglement idéologique ou la malhonnêteté intellectuelle.<br /><br />Et au fait, puisqu'il faut apparemment tout décoder : l'utilisation de l'expression « Fin du débat », à la fin de ce texte, était ironique (et critique). Chez vous, elle n'est que petite maligne.Hamsterjovialnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-70187310385731314602014-10-09T21:07:25.913+02:002014-10-09T21:07:25.913+02:00Bon-bon-bon, encore une envolée pré-éjaculatoire é...Bon-bon-bon, encore une envolée pré-éjaculatoire émanant d'un cerveau auto-surévalué rempli de références détournées aux fins idéologiques d'une certaine droite rigoriste, persuadée que, dès qu'elle ouvre le bec, tombe à nos pieds un fromage de vérité. Malgré l'intention, l'odeur désagréable qui s'en dégage demeure tenace, Monsieur du Corbeau. <br /><br />Je ne m'attarderai pas sur votre prêche oiseux et votre logorrhée puérile, mais un mot quand même sur votre conclusion; ou plutôt une question : le gêne de "l'épurateur social" pensez-vous que ça s'attrape "in utero" aussi ?<br /><br />Pour celui de la connerie par contre, je pense qu'il ne se développe que par paresse intellectuelle.<br /><br />"Fin du débat". #:^)<br /><br />Veronica Gresini - Montréal.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-3933424771049329632014-08-17T10:38:49.985+02:002014-08-17T10:38:49.985+02:00J'ai aussi réagi par l'énervement à ce fil...J'ai aussi réagi par l'énervement à ce film? C'est assez pénible de souhaiter la fin au plus vite pour être sûr qu'il n'y a rien d'autres pour changer d'appréciation. On attend, on voudrait un dénouement fantastique (Damien forcément, le gymnase m'a fait penser à Carrie) pour excuser un peu toute cette manipulation comme si la réalisatrice avait fini par nous dire, "non, mais en fait, on faisait semblant". Non, non, tout ça reste très sérieux, et énervant.<br /><br />Maintenant l'argumentaire se rapportant à la pénibilité de la maternité et la pression des modèles imposés (la mère parfaite et parfaitement aimante) me paraît, malgré tout, intéressant.Benjaminhttp://www.kinopitheque.net/we-need-to-talk-about-kevin/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-42937435788897684272014-06-16T21:33:00.125+02:002014-06-16T21:33:00.125+02:00Cette critique m'a bien fait rire... Comparé K...Cette critique m'a bien fait rire... Comparé Kevin enfant à Césare, vous avez cherché loin. <br /><br />Pour ma part j'ai trouvé ce film certes choquant mais intéressant. C'est une réalité : des gens pensent exactement comme Kevin pense. Je n'ai pas trouvé le film lourd mais.. Disons que beaucoup de choses sont imagés : l'auteur ne décrit pas avec des mots mais avec des "images" tel que la couleur rouge tomate sur la maison de Eva -la mère de Kevin. L'actrice était d'ailleurs parfaite pour ce film. les commentaires tel que "cette femme est vraiment moche" sont inutile : Son rôle n'était pas d'être belle, mais justement d'agir comme une femme froide, rigide, ayant du mal à aimer son enfant. <br /><br />We need talk about Kevin ne nous donne pas de leçon. Mais nous amènes, à mon sens, à nous poser des questions : "aurait-il agit autrement si sa mère lui avait montré de l'amour ?" "est-ce ce manque d'amour et le monde dans lequel il vit qui l'a poussé à faire ce qu'il à fait ?" "est-ce qu'une bonne dérouillé n'aurait pas changé son comportement ?"<br /><br />Quand au père de Kevin, il n’intervient pas énormément dans la film pour justement montrer qu'il ne voit pas son fils comme sa mère le voit. On remarque d'ailleurs que Kevin est plus proche de son père ; il sourit quand il rentre du travail, fait du tir à l'arc avec lui.<br /><br />Très franchement, je me demande si l'auteur de ce commentaire a réellement regardé le film. <br />La mère ne reprend pas sa vie comme si de rien était, elle laisse les autres l'insulter et la frapper parce qu'elle se sent coupable des agissements de son fils. Quand à son dernier gestes envers son fils, je ne pense pas qu'il s'agisse d'un pardon. Je ne sais pas si on peut dire qu'elle lui dit adieu également, car elle a reproduit exactement la même chambre que celle que Kevin avait avant le massacre. <br /><br />Pour ma part, c'est un film qui m'a touché, remué même.. J’ai encore des frissons quand je repense à certaines scènes du film. Après, il ne plait peut-être pas parce qu'il faut réfléchir un minimum pour comprendre l'esprit du film. Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-2484100506552895712014-05-29T21:57:23.087+02:002014-05-29T21:57:23.087+02:00Mouaaaaaah Alors .......Mouaaaaaah Alors .......Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-23165481127140820462014-05-26T03:49:02.491+02:002014-05-26T03:49:02.491+02:00« Que vient faire ici un slogan? Ce n'est pas ...« Que vient faire ici un slogan? Ce n'est pas encore fini la manif? »<br />—> Et le sens de l'ironie, il a foutu le camp ?Hamsterjovialnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-71977940836577169922014-05-25T00:54:51.725+02:002014-05-25T00:54:51.725+02:00Si l'auteur de ce blog a détesté ce film, qui ...Si l'auteur de ce blog a détesté ce film, qui a été une petite révélation pour moi, il fait tout son possible en tout cas pour faire de cette détestation un hommage involontaire, et de son mépris une obsession flatteuse.<br /><br />Le thème du mal inné, d'origine génétique ou diabolique, est toujours abondamment exploité par le cinéma américain, et je comprends que cette dénonciation à la fois naïve et ultraviolente d'un mal qu'on s'obstine à voir en dehors de soi, comme l'expression d'un maléfice dont le seul but serait de perturber l'ordre heureux d'un monde prospère, puisse agacer au plus haut point.<br /><br />Mais en l'occurrence, et comme certains l'ont très bien expliqué avant moi, ce film n'a rien, mais alors rien a voir avec la dénonciation du Mal incarné. La difficulté d'aimer, le courage dans l'horreur, le repentir et le pardon, auxquels je ne trouve rien de ringard, en constituent plutôt la trame spirituelle.<br />Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-57936683114685340412014-05-23T15:35:37.300+02:002014-05-23T15:35:37.300+02:00"la mère qui reprend sa vie comme si de rien ..."la mère qui reprend sa vie comme si de rien n'était, qui absous son fils en quelque sorte". N'importe quoi! La mère est une femme à la dérive en butte avec la ville entière et ses souvenirs. Elle accomplit les gestes du quotidien, certes, mais soit machinalement, soit avec l'inquiétude des bêtes traquées. Elle passe son temps à s'autopunir : elle ne se défend pas lors du procès, accepte les insultes et les coups, mange des oeufs cassés par une voisine, nettoie sa maison tout au long du film comme si elle nettoyait sa propre souillure et, finalement, reconstitue à l'identique la chambre de l'enfant maudit. Elle n'absout pas son fils mais elle veut comprendre ce qui a causé le massacre. Est-elle coupable ? Est-il seul responsable ? Que voulait-il ?<br />Quant à la scène finale où elle le prend dans ses bras, je n'y vois pas un pardon. Je pense plutôt qu'il s'agit de l'ultime excuse d'une mère incapable de dialoguer avec son fils, son ultime tentative d'amour. Encore une fois, elle ne l'absout pas lui mais peut-être s'absout-elle, elle. J'ai aussi eu le sentiment qu'elle le laissait derrière elle et qu'elle lui disait adieu.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-91239241912208811212014-05-23T08:39:49.505+02:002014-05-23T08:39:49.505+02:00Que vient faire ici un slogan? Ce n'est pas en...Que vient faire ici un slogan? Ce n'est pas encore fini la manif?Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-90044234955940175112014-05-23T08:36:29.961+02:002014-05-23T08:36:29.961+02:00Précisément, voilà le piège tendu par le film dans...Précisément, voilà le piège tendu par le film dans lequel il ne fallait pas tomber: il est fourni dès le début (volontairement?) des arguments presque trop évidents pour que la mère reçoive tout sur la gueule. Elle est austère, androgyne, maladroite, comme beaucoup de mères mais ne maltraite en aucun cas son enfant!! L'instinct maternel est une connerie! Chacune apprend sur le tas si je puis dire. Les enfants n'exigent pas de mère parfaite mais des parents qui font des efforts car il n'y a pas d'amour mais des preuves d'amour et dans le film, la mère n'arrête pas d'en faire. Kevin n'a pas de sensibilité, il ne se rend compte de rien. Seule la violence est susceptible de lui rendre une sensation d'exister. Il est psychotique, point, comme ceux qui ont défilé chez les psychiatres depuis Freud et dont les mères ressortent en larmes car pointées du doigt systématiquement dans leur soi-disant défaillances. Alors je comprends que de nombreux commentaires lus ici montrent à quel point il est facile de tomber dans le piège tendu et cité au début de mon propos. Le but était de créer un malaise, en tout cas c'est réussi, visiblement. Bonne journée à tous !! Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-40265780041243142112014-05-23T03:07:33.957+02:002014-05-23T03:07:33.957+02:00Je viens de voir ce film programmé sur Arte qui m&...Je viens de voir ce film programmé sur Arte qui m'a laissée perplexe...que veut-on prouver, la responsabilité de la mère sans cesse citée dans les méfaits des enfants ? Enfin..méfaits, là c'est un peu léger vu qu'il massacre sa soeur, son père et tous ses copains de lycée.<br /><br /><br /><br />J'ai surtout trouvé beaucoup d'invraisemblance dans ce film...notamment une tuerie à l'arc, même si on est un bon archer, que les lycéens ne se soient pas rués sur lui, ce n'est quand même pas un pistolet mitrailleur, ça paraît impossible...la mère qui reprend sa vie comme si de rien n'était, qui absous son fils en quelque sorte, ce dingue, quid du meurtre du mari et de sa fille ?<br /><br />Bon, encore un film glauque qui se veut intello, cela dit, pas mal fait et très bien interprété notamment par le jeune acteur.<br /><br />J'ai adoré la critique et bien ri...c'est tellement vrai !Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-73552755677726059702014-05-23T02:20:42.312+02:002014-05-23T02:20:42.312+02:00Plus très sûr parce qu'il est en prison et qu&...Plus très sûr parce qu'il est en prison et qu'il en prend plein la gueule , il ne s'amuse plus comme avant .....alors il verse sa petite larme ! <br />Cali Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-50590975109370235312014-05-22T17:52:25.777+02:002014-05-22T17:52:25.777+02:00Un papa une maman !Un papa une maman !Frigide Cherfinoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-4849718214603374302014-05-22T14:25:44.757+02:002014-05-22T14:25:44.757+02:00Lorsqu'on lit vos mots je cite "Une scène...Lorsqu'on lit vos mots je cite "Une scène résume bien les effets de ce procédé narratif : on voit dans un premier gros plan la main de la mère qui aligne des cotons-tiges pleins de pus avec lesquels elle nettoie l’œil mort de sa fille (sans doute crevé par Kevin, "on comprend de suite que vous n avez pas du voir le film dans son intégralité pour ne pas répondre à cette question ..J ai l 'impression que vous vous attendiez à du sang à des meurtres à du film digne d un blockbuster donc effectivement ce film n'était pas pour vous .Pour ma part pas besoin d aligner mille mot , je dirais juste que j'ai apprécié ce film car il parle d un sujet peu abordé , dans la plupart du temps à notre époque nous trouvons toujours des excuses à des meurtres sordides , nous faisons des tueurs des enfants bien sages qui ont du subir des choses atroces au sain de leur fratrie car il n y pas d autres explications , la mère a du etre méchante et perverse et le père brutal et absent ...l enfant roi a toujours raison au fond même lorsqu'il arrive à l age adulte et qu il détruit des vies ..alors cette approche d un enfant qui semble devenir de jour en jour un terrible étranger auprès de sa mère , le tout avec ce père qui ne voit rien ne fait rien ... la perte du role masculin , le positionnement d une mère qui se perd entre modernité , mère courage ...j ai trouvé le sujet du film percutant .mélanienoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-59057096616309144742014-05-22T13:23:22.314+02:002014-05-22T13:23:22.314+02:00Interessante critique. Comme vous j'ai adoré l...Interessante critique. Comme vous j'ai adoré le film qui va droit au but sans ambiguïté (pour la forme) et qui traite d'un problème peu abordé au cinéma (massacres perpétrés par des adolescents dans les collèges aux usa) tout en restant dans la suggestion sans voyeurisme. Au "why" de la mère à la fin, le fils en prison depuis deux ans finit par répondre (à peu prés) ceci : "à l'époque je le savais, maintenant, je ne suis plus très sûr". L'adolescence, periode de tous les dangers.JM Campanerhttps://www.blogger.com/profile/02055373713021110196noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-61758799862687044322014-05-22T10:35:18.162+02:002014-05-22T10:35:18.162+02:00Et bien.... Il est clair que c'est un sujet, q...Et bien.... Il est clair que c'est un sujet, qui n'est pas facile. Mais, je n'ai pas trouvé ce film mauvais, ni tout ce qui se dit au-dessus. De suivre la mère, de vivre sa solitude, sa rancœur et tout ce qui va avec. vous vous rendez compte vous ? Mettez-vous à sa place? Juste cinq minutes. Je trouve que c'est un film très juste et tout est crédible. Je pense que cela vous peur ? Non ? Je trouve que vos critiques sont très durs, on a le droit de ne pas aimé. Mais tout ce qui est dit, vous exagérez!!!! Moi, je suis choquée par la plupart des commentaires, ici.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-44265547226893744302014-05-22T00:16:43.517+02:002014-05-22T00:16:43.517+02:00Très juste. Mère abusive et mère paumée. Mère mont...Très juste. Mère abusive et mère paumée. Mère montrée du doigt et salie. Mère seule et moquée, accusée, condamnée. Elle est tout cela à la fois.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-69922648356260232422014-05-21T23:55:00.982+02:002014-05-21T23:55:00.982+02:00Je pense que vous êtes passé à côté du film (au pa...Je pense que vous êtes passé à côté du film (au passage je ne comprends pas la comparaison à Sleeping beauty qui, lui, est effectivement malsain pour le plaisir d'être malsain). Ou bien vous l'avez parfaitement compris et cela vous semble insupportable. Oui, la réalisatrice nous reproche d'être des voyeurs, ce qui vous met visiblement en colère. Mais vous le dites vous-même : vous attendiez le massacre, vous attendiez la vision de l'orbite vide de la fillette... Combien de millions d'entrées pour les films d'horreur, les films du genre de Saw ? Combien de personnes qui avouent être fascinées par les tueurs en série ? Plusieurs séries américaines en font même leur sujet de prédilection. <br />Je reconnais cependant que l'usage de la symbolique du rouge est peu subtile. Et c'est certainement voulu et assumé (à tort ou à raison ?). La mère se noie dans le sang. Point. Le fils est obsédé par le sang. Point. Tout annonce le massacre auquel nous n'avons pas besoin d'assister, merci bien, pour comprendre très exactement ce qui s'est passé. Si le spectateur veut plus, tant pis pour lui.<br />Le film n'a pas pour sujet le meurtre mais le meurtrier. C'est évident et je ne vois pas pourquoi vous le lui reprochez. Le synopsis était suffisamment clair.<br />Enfin, vous jugez le personnage du fils absurde, peu crédible, etc. C'est sur ce point là plus que sur tous les autres arguments que vous avancez que je suis en désaccord. Ne versons pas dans l'angélisme, pitié. Des enfants sont, dès la naissance, des bombes à retardement. Ils n'exploseront pas tous fort heureusement et les "dépister" avant relèverait de l'eugénisme. Mais le fait demeure. Je rappelle, à nouveau, l'existence des serials killers. Comment pouvez-vous mélanger meurtriers de ce type et délinquance, d'ailleurs ? En faisant cela vous donnez du crédit aux thèses de ceux-là même que vous conspuez.<br />Revenons au film... Un problème psychologique n'est cependant pas le seul élément qui va déclencher ces bombes à retardement. Le vécu, et l'enfance en particulier, est un facteur déterminent. La relation aux parents, à la mère, ici, est essentiel. Car c'est une mère abusive qui est décrite. Ceci ajouté à l'intelligence perverse de l'enfant provoque le massacre. Kevin est dangereux et la mère ne fera qu'empirer les choses même lorsqu'elle essaie de les désamorcer. Le père ne comprend rien, quant à lui et son meurtre est à peine étonnant. Oh! comme Kévin doit le mépriser, ou, au mieux, le considérer avec indifférence! Le personnage de la soeur est parfaitement crédible également : enfant désirée par la mère, elle est charmante mais hautement haïssable pour son frère ; soeur repoussée, brutalisée, elle essaie par tous les moyens de s'attirer les bonnes grâces d'un grand frère qu'elle admire. <br />J'ajoute ceci : vous ne devez ni travailler avec des enfants ni apprécier d'être remis en question. Anonymousnoreply@blogger.com