Francis Lawrence... Putain... Dans ce blog on a déjà évoqué à de nombreuses reprises nos griefs contre ce type qui ne semble pas savoir faire de films autrement que comme des merdes (c'est pas une légende...). Le plus triste dans tout ça, c'est de voir que Francis Lawrence n'évolue pas et qu'il réalise ce nouveau film comme tous ses précédents. Il n'y pas d'améliorations dans son travail, il ne progresse pas, il fait toujours la même merde, avec l'air toujours aussi fier... Il doit avoir un glaucome ou déjà être aveugle, ou au moins borgne, voire miro avec -12 à chaque œil pour imaginer des plans aussi nazes. Il dirige sans doute les acteurs de loin avec de grands gestes... A moins qu'il ne soit tout simplement pas présent sur le plateau. Peut-être est-il muet et tente-t-il de se faire comprendre par des signes du majeur, ou bien c'est un timide doublé d'une couille molle qui se cache derrière son moniteur... Le seul truc qui le réjouit dans son travail doit être de hurler "Action !" dans son mégaphone près de l'oreille rougie de Jennifer Lawrence (cela expliquerait la tronche qu'elle tire tout le long du film). Son visage et le sourire béat qu'il affiche constamment sont probablement le signe d'une carence hormonale ou affective, ou sa satisfaction de ne pas avoir encore été démasqué pour ses CV truqués et son incompétence notoire. Il n'a pas l'air méchant, c'est sûrement un bon copain pour aller boire des bières ou aider à déménager en urgence. Mais pourquoi lui refile-t-on régulièrement des budgets de 200 millions de dollars pour mettre en boîte un nouveau blockbuster pour ados et participer ainsi à la crétinisation absolue du cinéma américain contemporain ?
Mais attention, bien que notre ami Francis Lawrence ait une grande part de responsabilité dans cette débâcle qu'est "Hunger Games 3 partie 1 Les Révoltés du Bounty", il serait injuste de faire porter le chapeau à lui seul dans ce désastre long de 2h03, dont on voit s'écouler les minutes avec une lassitude accablée. Non, il est vraiment loin d'être l'unique couillon à blâmer. D'abord parce qu'il faut nécessairement se mettre à plusieurs pour concevoir un aussi gros étron (par exemple, pour ruiner Je suis une Légende, Lawrence a grandement bénéficié des deux expressions faciales de Will Smith et du boulot de quelques torche-papier au scénario), ensuite parce chaque composante du film participe avec entrain à la catastrophe.
"Si je dis rien et que je hoche la tête en souriant, ça devrait passer... Arrête de triturer ta fermeture éclair bordel ! Je stresse, je stresse mais j'ai pas grand chose à craindre à ma droite, il est aussi con que son frère... Et la pintade à ma gauche, tout le monde la prend pour ma fille, alors on se serre les coudes... pas les couilles LOL !... Concentre-toi putain !"
Mais attention, bien que notre ami Francis Lawrence ait une grande part de responsabilité dans cette débâcle qu'est "Hunger Games 3 partie 1 Les Révoltés du Bounty", il serait injuste de faire porter le chapeau à lui seul dans ce désastre long de 2h03, dont on voit s'écouler les minutes avec une lassitude accablée. Non, il est vraiment loin d'être l'unique couillon à blâmer. D'abord parce qu'il faut nécessairement se mettre à plusieurs pour concevoir un aussi gros étron (par exemple, pour ruiner Je suis une Légende, Lawrence a grandement bénéficié des deux expressions faciales de Will Smith et du boulot de quelques torche-papier au scénario), ensuite parce chaque composante du film participe avec entrain à la catastrophe.
Une pensée pour ceux qui ont flingué leurs carrières (voire plus...) avec cette saga en bois...
Les scénaristes ont fait un boulot impressionnant pour aider Lawrence dans sa quête de l'étron ultime, car atteindre ce niveau de nullité s'apparente à de l'art, m'est avis. Ils ont écrit le scénario sur un seul post-it qui a été brûlé par la suite. On me dit que c'est l'adaptation de la première partie d'un livre. Alors dans ce cas, soit le livre est une grosse purge, soit les deux scénaristes (aidés par l'auteure dans leur immense tâche !) ont choisi d'adapter les deux premières pages du livres. D'un point de vue strictement objectif, c'est cette dernière façon de faire qui serait la plus honnête car ce serait bien la première partie d'Hunger Games 3 qui serait adaptée. Mais ne comptez pas sur moi pour aller voir les 166 autres parties à 125 millions de dollars de budget mettant en image les 332 pages restantes ! C'est simple, le film dure deux heures et il ne s'y passe globalement rien. Il est rempli de vides et d'états d'âmes pour faire patienter (raquer) le spectateur (le consommateur abruti) jusqu'à l'année prochaine. Et si les invraisemblances affligeantes constatées dans le film sont les mêmes dans le livre, alors c'est un sacré bouquin de merde que l'histoire des Hommes finira par oublier, enterré sous un tas de fumier, où il trouvera enfin son utilité : nourrir les microorganismes du sol dans un retour à la terre salvateur...
Pour résumer quand même le film, voilà la totalité de l'histoire en quelques phrases : Katniss Everdeen (J-Law) vient d'être secourue par les rebelles du District 13 à la tête desquels se trouve le fantôme de Julianne Moore aidée par Philip Seymour Hoffman (ce rôle a eu sa peau). On lui demande de devenir le symbole de la rébellion car elle est méga populaire suite aux Hunger Games 1 et 2. Après réflexion, elle accepte à condition qu'on aille libérer Peeta (son mec) et les autres anciens vainqueurs des Jeux de la Faim retenus prisonniers au Capitole (la capitale de ce monde hideux, j'imagine). Peeta est libéré facilement par une équipe de choc (l'héroïne n'ayant pas été invitée à participer à l'assaut !) mais, piqué par une abeille (sic !), il est devenu fou ! Il tente de tuer Katniss par strangulation mais, malgré le temps de réaction digne d'un paresseux tridactyle des 10 personnes qui trainaient dans les parages, il échoue dans sa triste tentative d'assassinat. Fin.
Pour illustrer une histoire aussi colossalement minable et débile, le casting s'est mis au diapason. Il est d'une nullité insultante et aide avec une détermination farouche Francis Lawrence dans sa tentative de réaliser l'ultime navet capable de rendre jaloux Uwe Boll. Entre les acteurs confirmés et multi-récompensés qui viennent toucher leur cachet en éructant des lignes de dialogues insipides tout en regardant d'un œil mort la caméra car ils savent qu'ils flinguent leur respectabilité contre quelques liasses de billets verts, et les jeunes acteurs affligeants, J-Law en tête (elle joue comme si elle s'était pris une torgnole avant chaque prise), le spectacle est consternant et risible. Le pire est peut-être atteint avec l'acteur qui joue Peeta (traduit par "Puta" en espagnol et "Chawarma" en turque selon mes sources), celui dont J-Law est amoureuse, qui joue un traitre, mais en fait non, car il a été empoisonné (par une abeille donc...) pour devenir fou et tuer sa copine lors de leurs retrouvailles, tout ça pour suivre le plan machiavéliquement bête et foireux du grand méchant du film, un Donald Sutherland qui a probablement eu un gros redressement fiscal pour se retrouver là. En plus de ressembler à un mauvais acteur belge, Peeta doit donc jouer la folie, enchainé à un lit dans un pièce capitonnée dans l'une des ultimes scènes de cette daube, et à ce moment-là on a vraiment pitié pour lui. Notons aussi la présence de Liam Hemsworth, le frère de Thor avec lequel il partage un jeu d'acteur et une palette émotionnelle extrêmement limités.
Quand Katniss part se battre "sur le terrain", elle n'emporte qu'une dizaine flèches...
Pour résumer quand même le film, voilà la totalité de l'histoire en quelques phrases : Katniss Everdeen (J-Law) vient d'être secourue par les rebelles du District 13 à la tête desquels se trouve le fantôme de Julianne Moore aidée par Philip Seymour Hoffman (ce rôle a eu sa peau). On lui demande de devenir le symbole de la rébellion car elle est méga populaire suite aux Hunger Games 1 et 2. Après réflexion, elle accepte à condition qu'on aille libérer Peeta (son mec) et les autres anciens vainqueurs des Jeux de la Faim retenus prisonniers au Capitole (la capitale de ce monde hideux, j'imagine). Peeta est libéré facilement par une équipe de choc (l'héroïne n'ayant pas été invitée à participer à l'assaut !) mais, piqué par une abeille (sic !), il est devenu fou ! Il tente de tuer Katniss par strangulation mais, malgré le temps de réaction digne d'un paresseux tridactyle des 10 personnes qui trainaient dans les parages, il échoue dans sa triste tentative d'assassinat. Fin.
Cette scène inutile se déroule au début du film dans l’hôpital de fortune du District 8. J-Law rend visite aux malades, elle est filmée pour la propagande des rebelles, elle fait des "propaclips". Tout l’hôpital sera rasé par les méchants juste parce qu'elle s'y est pointée sans discrétion. Belle, l'héroïne...
Pour illustrer une histoire aussi colossalement minable et débile, le casting s'est mis au diapason. Il est d'une nullité insultante et aide avec une détermination farouche Francis Lawrence dans sa tentative de réaliser l'ultime navet capable de rendre jaloux Uwe Boll. Entre les acteurs confirmés et multi-récompensés qui viennent toucher leur cachet en éructant des lignes de dialogues insipides tout en regardant d'un œil mort la caméra car ils savent qu'ils flinguent leur respectabilité contre quelques liasses de billets verts, et les jeunes acteurs affligeants, J-Law en tête (elle joue comme si elle s'était pris une torgnole avant chaque prise), le spectacle est consternant et risible. Le pire est peut-être atteint avec l'acteur qui joue Peeta (traduit par "Puta" en espagnol et "Chawarma" en turque selon mes sources), celui dont J-Law est amoureuse, qui joue un traitre, mais en fait non, car il a été empoisonné (par une abeille donc...) pour devenir fou et tuer sa copine lors de leurs retrouvailles, tout ça pour suivre le plan machiavéliquement bête et foireux du grand méchant du film, un Donald Sutherland qui a probablement eu un gros redressement fiscal pour se retrouver là. En plus de ressembler à un mauvais acteur belge, Peeta doit donc jouer la folie, enchainé à un lit dans un pièce capitonnée dans l'une des ultimes scènes de cette daube, et à ce moment-là on a vraiment pitié pour lui. Notons aussi la présence de Liam Hemsworth, le frère de Thor avec lequel il partage un jeu d'acteur et une palette émotionnelle extrêmement limités.
L'héroïne fout un bordel monstre chez les rebelles et provoque la mort de nombreux innocents pour aller sauver ça. Et non ce n'est pas une photo du remake gay de Basic Instinct...
Le meilleur acteur de ce film n'est pas un humain, c'est une pauvre bête maltraitée. Je dis pauvre bête alors qu'il s'agit d'un chat roux. Et tout le monde sait que les chats roux sont l'engeance du diable, les envoyés de Belzébuth sur Terre, des créatures qui n'hésiteraient pas à venir vous crever les yeux dans votre sommeil gratos. Eh bien on finit par à avoir pitié d'un tel animal, maltraité et affublé d'un rôle très ingrat dans ce film. Un faire valoir qui se retrouve fourré par l'héroïne dans un gros sac lors de la visite de son ancienne maison, puis reçoit tout un tas d'objets et souvenirs sur la tronche sans moufter : cadre photo, couteaux de cuisine, salière, épices, planche à découper... Il reste des heures caché dans ce sac sous tous ces ustensiles avant d'en être enfin sorti pour retrouver sa maitresse (accessoirement la sœur de l'héroïne). Il sert aussi de pirouette scénaristique afin de mettre en danger inutilement la petite sœur de J-Law lors d'une scène de bombardement-évacuation à pleurer d'inutilité et de longueur.
Il paraît qu'il était noir et blanc dans les deux premiers films... Peut-être que le bombardement du District 12 (anéantissant tout apport de minerais et de charbon dans la capitale soit dit en passant) l'a rendu roux...
Enfin, un grand merci aux producteurs de ce massacre de masse sans qui tout cela n'aurait pu se faire. Un grand bravo d'avoir initié une telle purge, recruté les personnes adéquates à chaque étape du processus de création pour parvenir à un tel niveau de médiocrité, et pour s'être fait une montagne de dollars avec ce gros tas de merde qu'est Hunger Games 3 part 1, paragraphe 2, couplet 5, verset 7, ligne 2... On ne parlera pas de la direction artistique ni des effets spéciaux à part pour dire qu'ils participent de manière significative (p < 0,05) à la laideur et à la médiocrité du film.
Hunger Games - La Révolte : Partie 1 de Francis Lawrence avec Jennifer Lawrence, Liam Hemsworth, Julianne Moore, Philip Seymour Hoffman, Donald Sutherland... (2014)
Hunger Games - La Révolte : Partie 1 de Francis Lawrence avec Jennifer Lawrence, Liam Hemsworth, Julianne Moore, Philip Seymour Hoffman, Donald Sutherland... (2014)
Le sourire figé et le monologue interne de Francis m'ont eu :D
RépondreSupprimerÇa a l'air super con !
RépondreSupprimerVous êtes complètement ouf, il chire-dé ce film !
RépondreSupprimerEn plus d'être un film de merde j'ai développé une aversion viscérale pour Jennifer Lawrence. Même phénomène qu'avec Robert Downey Jr. Deux acteurs que j'aimais plutôt bien à la base. Kiss Kiss Bang Bang pour l'un et le semi bon film Winter's Bone pour l'autre. A présent mon objectif premier est d'éviter toute oeuvre avec ces épouvantables acteurs.
RépondreSupprimerBien dit !
RépondreSupprimerUn nouvel épisode déjà en branle : http://www.gizmodo.fr/2014/12/07/the-humper-games-version-porno-the-hunger-games.html
RépondreSupprimerJennifer Lawrence est-elle aussi pudique dans ce film qu'en vrai?
RépondreSupprimerIl parait qu'elle figure à oilpé toute la fin du film. Full frontal pendant 25 min, arc à la main.
RépondreSupprimerLa quatrième image montre un grand moment de démocratie américaine : le vote à main levée en faveur de l'arrêt définitif de la production de films pas regardables au-delà de douze ans d'âge mental, et qui coûtent pourtant de quoi faire vivre toute une bourgade du Kentucky pendant plusieurs années*.
RépondreSupprimerD'où l'air déconfit de Jennifer Lawrence : pour elle, c'est le chômage assuré — elle envisage de retourner dans son Arabie natale. (Hors champ, Robert Donnez-nous Junior, Michelle Rodriguez-moi ça, Hugh Yackman et Chris Hem Hem Hemsworth sont en train de se faire seppuku.)
La petite fille, quant à elle, n'a rien compris : elle vote pour qu'on lynche la maquilleuse.
* : Kentucky : un des coins les plus pauvres des États-Unis, bande d'ignares.
Oui, le film n'est vraiment pas terrible et le scénario particulièrement plat mais cela n'a rien à voir avec le livre. D'ailleurs depuis les 2 premiers films, le scénario ne retranscrit qu'une partie superficielle des livres. Il se contente d'enchaîner les actions et fait passer l’héroïne pour une potiche pleurnicharde et obnubilée par deux mecs (en même temps, il fallait bien se raccrocher à Twilight ou autres daubes pour ados à la mode pour que ça se vende). Ce film est un torchon et si on ne comprend rien à certaines des situations, c'est qu'il n'y avait aucune volonté d'en faire une vraie adaptation.
RépondreSupprimerj'ai vu aussi , et je partage (pas toujours le cas) vos commentaires pertinents et éclairés(comme toujours le cas), voire éclaireur .
RépondreSupprimerje vous laisse , je vais me mater a nouveau battle royale !
Pour Hamster jovial :
RépondreSupprimerJennifer Lawrence vient de Louisville* en plus ! Tout se recoupe !
* : Louisville (prononcez à la française "Louiville"), la capitale du Kentucky, bande d'ignares.
@ Claustro :
RépondreSupprimerJe le savais, vous pensez bien, mais j'ai préféré ne citer que l'origine moyen-orientale de la famille Lawrence pour ne pas écraser tous ces incultes par la logique absolue de ma démonstration...