tag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post8592286998825021768..comments2023-10-30T09:08:55.507+01:00Comments on Il a osé !: Gun CrazyFélixhttp://www.blogger.com/profile/08205543965279106067noreply@blogger.comBlogger43125tag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-61605675516987065942014-11-10T15:07:11.118+01:002014-11-10T15:07:11.118+01:00Dans la foulée, j'ai vu 'City of Fear'...Dans la foulée, j'ai vu 'City of Fear', réalisé un an après 'Murder by Contract' par le même Irving Lerner, de nouveau avec Vince Edwards dans le rôle principal (rarement vu un acteur capable d'être à la fois aussi séduisant et repoussant) et l'excellent Lucien Ballard à l'image (ne serait-ce que pour les prises de vues noir et blanc en extérieur à Los Angeles, les deux films valent le coup d'œil). Souffre de la comparaison avec 'Murder', mais très bien tout de même. Formerait une jolie programmation « radioactive » avec 'En quatrième vitesse' et 'L'homme qui rétrécit'...Hamsterjovialnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-9675270699612654952014-11-09T20:26:17.157+01:002014-11-09T20:26:17.157+01:00Je l'ai dans ma ptite collec' de films noi...Je l'ai dans ma ptite collec' de films noirs, je le materai en priorité !Félixhttps://www.blogger.com/profile/08205543965279106067noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-82156668343847143432014-11-08T18:56:15.352+01:002014-11-08T18:56:15.352+01:00Ca donne bougrement envie !Ca donne bougrement envie !Rémihttps://www.blogger.com/profile/17115380878533456312noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-64998533812736025722014-11-08T18:47:50.354+01:002014-11-08T18:47:50.354+01:00Pour revenir sur cette discussion à propos du film...Pour revenir sur cette discussion à propos du film noir entamée avec le texte de Simon sur 'Gun Crazy', je crois que personne n'a parlé de 'Murder by Contract', réalisé par Irving Lerner en 1958. Après en avoir longtemps entendu parler, je viens seulement de le voir et c'est for-mi-dable (da-ble). Avec 'Gun Crazy', 'En quatrième vitesse' et l'un peu plus tardif 'Les Tueurs de la lune de miel', il forme à mes yeux le carré d'as des plus beaux « exercices de style » de ce genre cinématographique (pour des raisons que je n'ai pas le temps d'expliquer ici, je mets 'La Soif du mal' hors-concours). Évidemment, l'expression « exercice de style » ne rend compte que très imparfaitement de la beauté du film. C'est racé, poétique, moderne, spontanément anticonformiste, doux, dur et dingue à la fois, toujours inattendu et toujours logique, jamais poseur mais d'une séduction sans faille. Je crois savoir que des gens comme Scorsese, Nolan et Tarantino en sont tombés raides dingues, et je vois bien pourquoi, malheureusement ils ont été infichus d'en reproduire la beauté (si tant est que la beauté soit reproductible). Scorsese peut-être un peu, dans certains moments de 'Taxi Driver'.Hamsterjovialnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-45564977417733752562014-06-06T10:03:12.801+02:002014-06-06T10:03:12.801+02:00En ce qui concerne Siodmak, je n'avais pas inc...En ce qui concerne Siodmak, je n'avais pas inclus 'Pièges' ni 'Les SS attaquent la nuit' dans mes considérations car le premier est un film français et le second est allemand : je ne parlais que des films noirs tournés en Amérique. Ce qui, cependant, n'invalide pas ta remarque, qui est encore plus juste concernant 'Le Suspect', film pour le coup américain qui se déroule en Angleterre. Point ne l'ai vu, je l'avoue...<br /><br />Le début de 'Man Hunt' produit un effet prodigieux encore aujourd'hui, mais je me dis toujours que l'effet devait être encore plus incroyable sur les personnes qui l'ont vu à sa sortie, en 1941. Hitler dans le viseur ! (Et un Hitler hyper-crédible.)<br /><br />Côté débuts de films de Lang, j'aime aussi beaucoup l'attente initiale du personnage de 'Ministry of Fear'.Hamsterjovialnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-20893596823378565902014-06-05T23:26:31.212+02:002014-06-05T23:26:31.212+02:00On pourrait analyser chaque film d'Hitchcock p...On pourrait analyser chaque film d'Hitchcock période ricaine à l'aune de ceux de Lang, et vice versa. L'intro de "La Cinquième victime", c'est pas que dalle non plus !Rémihttps://www.blogger.com/profile/17115380878533456312noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-82927136618944388702014-06-05T22:58:40.088+02:002014-06-05T22:58:40.088+02:00Wah ! House by the river...
Quelle atmosphère! Une...Wah ! House by the river...<br />Quelle atmosphère! Une des plus envoûtantes dans la filmographie du Herr Lang, non?<br />Je me demande parfois si Hitchcock ne l'avait pas dans un coin de son immense cerveau quand il faisait Psycho. <br />Toutes ces liquidités, ces glouglous nocturnes, ces borborygmes fluides... <br /> Incroyables tous ces "petits Lang mineurs" qui se placent direct chez les majeurs et droit sur le haut du panier encore...<br />"Cape et poignard se tient très bien aussi. Malgré le scenario parfois bancale, et en tout cas moins ironique et caustique que "Ministry of fear". <br />Je préfère de toute façon "House" . Je le mettrais dans mon... top 17 (oui, quoi..?). <br />@Hamster : Je trouve que Siodmak a parfois "déplacé" lui aussi le film noir, à sa façon. <br />En termes de géographie, Le Suspect se déroule à Londres par exemple. <br />Et "Pièges" est un vrai film noir français (dans ce cas précis, vu l'époque, je dirais même que Siodmak faisait du "film noir" sans le savoir ). Ou , plus tard, "Les SS attaquent la nuit", à Berlin . Il y a sûrement d'autres exemples que je n'ai pas en tête en cet instant et j'ai la flemme de chercher. <br />Pour en revenir à Man Hunt... Voilà un des plus renversants, un des plus forts, un des plus prodigieux début de film de toute l'Histoire !!! <br />Et que personne ne me contredise. Lisa Fremontnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-47368619266527519062014-06-05T22:15:11.511+02:002014-06-05T22:15:11.511+02:00'House by the River' : toute la séquence q...'House by the River' : toute la séquence que tu évoques, depuis les bruits d'eau dans la canalisation qui évoquent la douche de la jeune femme, est fascinante. Et les scènes nocturnes sur le fleuve itou.<br /><br />'Man Hunt' : peut-être le film de Lang qui montre le plus nettement qu'il n'est pas le cinéaste de « la » morale, à quoi on le réduit trop souvent, mais celui de la relativité des diverses morales, qu'il s'agit d'avoir le discernement de choisir en fonction des circonstances (surtout à partir de la période américaine, mais déjà dans 'Mabuse'...) : une morale de chasseur (choisir de tirer à blanc sur un gibier difficilement débusqué) devient immorale et totalement déplacée quand le gibier se trouve être Adolf Hitler. Le protagoniste passe le film entier à payer les frais de cette erreur initiale.<br /><br />Effectivement, nos remarques respectives sur la capacité d'absorbtion des films de Lang vont dans le même sens !<br /><br />Et c'est vrai que chez Lang, les films vont par deux. Avant même les exemples que tu cites : les deux Mabuse muets, les deux Nibelungen, et plus tard les deux volets du diptyque indien...Hamsterjovialnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-56362965036628288872014-06-05T21:02:25.116+02:002014-06-05T21:02:25.116+02:00J'ai découvert 'House by the River' il...J'ai découvert 'House by the River' il y a quelques semaines. Excellent film, évidemment, et dont la conclusion m'a beaucoup surpris (j'étais persuadé que ça se terminerait sur un twist digne de celui de 'La Femme au portrait', vu que le personnage principal est écrivain, que le film s'ouvre avec lui à sa table de jardin, en pleine crise d'inspiration, quand sa voisine évoque la saleté du lac en face de chez eux... mais non). Excellent mais pas de mes préférés, malgré de sublimes choses, et notamment les plans terribles sur le héros, au bas de l'escalier, au début du film, lorgnant vers les jambes nues d'un futur cadavre, image effrayante en soi (malgré la pasteurisation !) qui sert d'ailleurs de couverture à l'édition dvd du film chez Wild Side.<br /><br />Très fan de "Man Hunt" par contre, découvert quant à lui au cinéma il y a déjà quelques années. Une merveille. J'avais essayé d'en causer ici : http://ilaose.blogspot.com/2011/02/chasse-lhomme.html<br /><br />Quant aux scories du temps et autres défauts de pellicule absorbés, exploités même, à rebours et malgré lui, par le puissant Lang, ma petite bafouille sur 'Désirs humains' (le doublon de 'Règlement de comptes' au même titre que 'La Rue rouge' est celui de 'La Femme au portrait', ou l'inverse) pourrait s'ajouter à la liste : http://ilaose.blogspot.com/2013/06/desirs-humains.htmlRémihttps://www.blogger.com/profile/17115380878533456312noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-12545825229924419562014-06-05T20:39:12.725+02:002014-06-05T20:39:12.725+02:00Et quitte à enfiler les Fritz Lang « noirs », comm...Et quitte à enfiler les Fritz Lang « noirs », comme des perles, en voici une autre (de perle) : 'House by the River'. Le film ne se déroule ni dans le décor ni à l'époque typiques du « film noir », mais c'est un joyau du genre. De même, Lisette a cité dans sa liste 'Man Hunt' : faux film de guerre, vrai film noir. Lang est sans doute celui qui a le mieux su « dépayser » le film noir, et il l'a fait de surcroît durant la période canonique de ce dernier. Cela n'est pas forcément dû à son origine viennoise : Preminger et Siodmak sont ses cousins « germains », mais n'ont pas comme lui transplanté le genre dans d'autres contextes, bien qu'ils l'aient beaucoup pratiqué.<br /><br />Cela me fait penser que les films de Lang présentent la qualité peu orthodoxe, pour un cinéaste aussi inspiré et « sérieux » que lui, de pouvoir s'agrémenter de qualités qui leurs sont incidentes. Je me rappelle ainsi avec émotion des premières copies hyper-charbonneuses, littéralement noires et blanches, dans lesquelles j'ai découvert 'House by the River' et 'Le Testament du Docteur Mabuse' (au Cinéma de Minuit). J'ai presque éprouvé de la déception devant leurs copies repasteurisées, bien contrastées et sans bavures, qui ont été par la suite éditées en dvd (je ne suis pourtant pas, d'habitude, un fétichiste des vieilles copies abîmées). De même, je fais partie de ceux qui aiment bien la version giorgiomorodeurisée de 'Metropolis' sortie en 1984, avec ses couleurs et ses chansons criardes (pas si criardes que cela, d'ailleurs, du moins en ce qui concerne les couleurs). Comme si l'imaginaire languien était si puissant qu'il pouvait s'approprier, tel l'aimant attirant à lui les limailles de fer, les diverses scories que le temps lui fait subir.Hamsterjovialnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-85699519093627649082014-06-02T23:33:24.070+02:002014-06-02T23:33:24.070+02:00'L'Enfer est à lui', Lisette l'a c...'L'Enfer est à lui', Lisette l'a cité ('White Heat'). À part pour Lang, je n'ai pas voulu ajouter d'autres films de cinéastes déjà cités. Parce que sinon : 'La Femme à abattre' (Walsh), 'Dossier secret' (Welles), 'La Femme au gardénia' (re-Lang), 'The Crimson Kimono' (Fuller), etc.<br /><br />Exemple même du film qu'on peut dire noir et qui est à cheval sur la frontière entre « majeur » et « mineur » (mais Nada pourrait sans doute en dire autant des films qu'il a cités) : 'Du plomb pour l'inspecteur', de Richard Quine. Très, très bon.Hamsterjovialnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-79431132830449971372014-06-02T23:25:41.027+02:002014-06-02T23:25:41.027+02:00@ Rémi : J'ai un rapport compliqué aux films d...@ Rémi : J'ai un rapport compliqué aux films de Billy Wilder... Moins à 'Assurance sur la mort', cependant. 'Les Amants de la nuit', même si mille choses l'y rapportent, je ne le mettrais pas dans le film noir, personnellement. Trop tendre. (Attention, ce n'est nullement un reproche !)<br /><br />@ John Nada : oui oui oui, même si je ne les mettrais quand même pas au même niveau que les pierres de touche du genre que sont les films de Hawks, Walsh, Lang, Welles, Preminger, Tourneur, Aldrich, Ray ('La Maison dans l'ombre'), Lewis et Fuller. Et Wilder, donc !<br /><br />Marrant, cette histoire de « genre ». À la fois cela n'a rien à voir d'essentiel avec la réalité profonde des films, cela peut même parfois sembler dérisoire, réducteur et conventionnel, et d'un autre côté ça a été (empiriquement, pragmatiquement, commercialement, sentimentalement) très important...Hamsterjovialnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-445977839935178792014-06-02T23:24:20.839+02:002014-06-02T23:24:20.839+02:00Ouais... j'ai préféré m'arrêter à deux fil...Ouais... j'ai préféré m'arrêter à deux films (La Rue rouge et Les Amants de la nuit) qui pourraient prétendre à l'aise à mon top 10 perso (les 8 autres ont sans doute déjà été évoqués ici ou là dans les commentaires de Lisa et d'Hamster : Traquenard, La Soif du mal, Laura, En 4ème vitesse, Assurance sur la mort, etc., auxquels je rajoute d'ailleurs in extremis La Dame de Shangaï, Gilda, L'enfer est à lui, Boulevard du crépuscule, Les Inconnus dans la ville, en oubliant Alfred "hors-concours" Hitchcock - L'inconnu du nord-express, Vertigo, ... - sous peine de dépasser les 10 avant d'avoir joué).Rémihttps://www.blogger.com/profile/17115380878533456312noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-59219427317453123042014-06-02T23:10:22.491+02:002014-06-02T23:10:22.491+02:00Plus Chasse au gang, Les Forbans de la nuit, Nous ...Plus Chasse au gang, Les Forbans de la nuit, Nous avons gagné ce soir, L'énigme du Chicago Express et Le Quatrième Homme, me concernant, mais la liste pourrait s'allonger encore... :)John Nadanoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-680481088168904712014-06-02T23:08:45.784+02:002014-06-02T23:08:45.784+02:00Que certains jours, "Assurance sur la mort&qu...Que certains jours, "Assurance sur la mort" ? Tous les jours en ce qui me concerne. Idem pour le Aldrich, et plus encore le Lang (en double programme avec "La rue rouge"). Et "Les amants de la nuit", vous le mettez dans le genre ? Parce que si on l'y met, il est forcément parmi les dix !Rémihttps://www.blogger.com/profile/17115380878533456312noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-13413863579771230282014-06-02T23:00:31.708+02:002014-06-02T23:00:31.708+02:00Plus 'Le Grand Sommeil', 'La Griffe du...Plus 'Le Grand Sommeil', 'La Griffe du passé' (rhââ lovely...), 'Le Port de la drogue' et 'En quatrième vitesse' (et 'Assurance sur la mort' certains jours), en ce qui me concerne. Et en ce qui concerne Lisette aussi, j'en suis persuadé ! Chez Lang, le « film noir » le plus pur et le plus réussi, pour moi, ce serait 'La Femme au portrait'.Hamsterjovialnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-44654484610737081232014-06-01T16:34:23.624+02:002014-06-01T16:34:23.624+02:00Bravo.
Mais, aaargh, oublié Sweet smell of success...Bravo.<br />Mais, aaargh, oublié Sweet smell of success ! Comment ai-je pu ? Comment ai-je pu ?Comment ai-je pu ? Comment ai-je pu ?!!!! <br />Pourtant Prem's parmi les prem's, çui-là ! Lisa Fremontnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-40782654713867242132014-05-31T19:51:58.787+02:002014-05-31T19:51:58.787+02:00Lisa Fremont > Règlement de comptes, Man Hunt, ...Lisa Fremont > Règlement de comptes, Man Hunt, The Big Combo, Gun Crazy, Cry of the city, Laura, La soif du mal, White heat, La maison dans l'ombre, Traquenard<br /><br />On en a critiqué 4 ! Plus que 6 !Rémihttps://www.blogger.com/profile/17115380878533456312noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-80921773497144733132014-05-31T00:36:01.222+02:002014-05-31T00:36:01.222+02:00Pffff... Décidément , les choses les plus évidente...Pffff... Décidément , les choses les plus évidentes ne le sont jamais.... <br />Désolée, mais parfois le site mouline tellement qu'on a l'impression que la page est effacée. Alors on clique, on clique, clik clik de ouf.... Et on se transforme sans le savoir en photocopieuse .Lisa Lisa Lisa Lisanoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-5023304179379541842014-05-30T12:40:08.605+02:002014-05-30T12:40:08.605+02:00Si je le supprime, ça supprimera les réponses, ton...Si je le supprime, ça supprimera les réponses, ton commentaire de 00h37 disparaitra aussi.Félixhttps://www.blogger.com/profile/08205543965279106067noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-81536296440612278232014-05-30T12:20:42.807+02:002014-05-30T12:20:42.807+02:00Une main efficace peut-elle effacer un des comment...Une main efficace peut-elle effacer un des commentaires en doublon ci-dessus ? (et celui-ci, une fois la chose faite...?)Lisa Fremontnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-4716883300081052812014-05-30T00:37:22.844+02:002014-05-30T00:37:22.844+02:00Toujours un peu chiant, les listes. Et puis, elles...Toujours un peu chiant, les listes. Et puis, elles changent, forcément.<br />Disons, pour te faire plaisir, Nada (dans le cinéma noir classique américain, s'entend. Et pas forcément dans l'ordre) : Règlement de comptes, Man Hunt, The Big Combo, Gun Crazy, Cry of the city, Laura, La soif du mal, White heat, La maison dans l'ombre, Traquenard...<br />Que du banal, quoi. Suis cinéphile de base, sorry. <br />Et puis, y en a une foule d'autres que j'adore aussi. Ceux-là sont juste ceux que j'ai encore vraiment plaisir à revoir même après la 17e fois....Lisa Fremontnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-44774369317385303652014-05-30T00:20:01.956+02:002014-05-30T00:20:01.956+02:00Belle riposte.
Mais je suis fétichiste à mort, ci...Belle riposte. <br />Mais je suis fétichiste à mort, cinéphiliquement parlant (et entre autres aussi). Donc, le Sonotone de Donlevy, ou le plan de Jean Wallace prise par derrière par le gars Conte, ou bien la Wallace, toujours, courant jupe battante, dans la lumière nocturne de James Wong Howe, moi ça me chauffe davantage, pour reprendre ta métaphore incendiaire...Lisa Fremontnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-81292743674561391132014-05-30T00:16:05.349+02:002014-05-30T00:16:05.349+02:00Belle riposte.
Mais je suis fétichiste à mort, ci...Belle riposte. <br />Mais je suis fétichiste à mort, cinéphiliquement parlant (entre autres aussi). Donc, le Sonotone de Donlévy, ou le plan de Jean Wallace "prise par derrière" par Conte, ou la Wallace, toujours, courant, jupe battante, dans la lumière nocturne de James Wong Howe, moi, ça me "chauffe" plus, pour reprendre ta métaphore incendiaire. Lisa Fremontnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7630630974726095610.post-49569122900988042192014-05-29T18:53:14.658+02:002014-05-29T18:53:14.658+02:00Je rappelais 'The Big Combo' pour relativi...Je rappelais 'The Big Combo' pour relativiser un peu l'affirmation de Simon selon laquelle Lewis n'aurait « pas fait d'autres films de cette envergure », mais c'est vrai que je le place finalement moi aussi légèrement en dessous de 'Gun Crazy' pour une raison principale : 'Gun Crazy' fait du fétichisme son sujet, alors que dans 'The Big Combo' cela devient plus un effet (cf. l'écouteur de Brian Donlevy), très réussi mais qui prête à son tour plus facilement, il me semble, à la fétichisation cinéphile. Tandis qu'en faisant du fétichisme son sujet, 'Gun Crazy' l'aborde je trouve avec plus d'intelligence, presque de froideur théorique, tout en restant pourtant chaud comme la braise...Hamsterjovialnoreply@blogger.com